Angoulême 2020 : 20/20

Achevée le week-end dernier, la 47ème édition du FIBD m’a laissé retrouver mes pénates dimanche soir totalement éreinté. Ereinté mais satisfait aussi avec le net sentiment d’en avoir bien profité puisque j’y ai cette fois-ci traîné mes basques non pas une journée comme c’était l’habitude mais trois (jeudi, samedi et… Lire la suite…

Petits fours, lettres mystérieuses et arsenic

Noriko, la fille d’un banquier, a autrefois connu un grand malheur personnel. Alors qu’elle devait se marier avec Fujimura, un employé de la banque de son père, le jeune homme est parti la veille du mariage sans donner d’informations. Dévastée, Noriko est restée cloîtrée dans sa chambre durant trois ans.… Lire la suite…

Quand Kitano pleure à s’en tenir les côtes

Hiroshi Igarashi (Beat Takeshi) est un « talento » comique à succès sévissant à la TV japonaise. Sa femme l’a quitté pour l’Australie parce qu’elle trouvait qu’elle n’avait pas sa place dans cette vie entièrement tournée vers une vie médiatique frénétique. Hiroshi vit donc seul en compagnie de son fils, Ken, une… Lire la suite…

Une belle-fille aux dents aiguisées

Afin de bien commencer la lecture du premier article pinku de l’année, je vous propose de le lire tout en écoutant cette chanson : Pas de choix plus approprié en effet puisque Yôko Hatanaka est une de ces idoles qui ont succombé à un moment de leur carrière aux sirènes du… Lire la suite…

Les joies du joya no kane comme si vous y étiez

J’ai évoqué la dernière fois la fabuleuse prestation de Kitano lors de la grande messe cathodique de l’Ōmisoka (le réveillon de fin d’année) qu’est le Kouhaku. Eh bien il faut savoir qu’il ne s’agit pas de l’ultime grande messe puisqu’il en est juste après une autre, et qui se payer en… Lire la suite…

Les joies du bini-bon avec Junko Mabuki

Toujours dans l’optique de poursuivre les sentiers explorés par The Naked Director, après Dynamite Graffiti, on enchaîne avec Zoom Up : the Beaver book girl, roman porno de 1981 : Zûmu appu: Binîru-bon no onna ズームアップ ビニール本ほんの女  (soit Zoom sur la fille de revues olé olé !) Le « bini bon », ceux… Lire la suite…

Les joies du tribadisme en sailor fuku

Rude soirée cinéma hier pour votre serviteur : en première partie de soirée, la brutalité avec Rambo : Last Blood (j’avoue faire partie de ceux qui ont kiffé le spectacle) et en deuxième la douceur avec un roman porno de 1983 : セーラー服 百合族 / Sêrâ-fuku: Yurizoku (proposition de titre : les goungnotteuses du lycée)… Lire la suite…

Ce magazine porno, c’est de la dynamite

Si vous avez vu et apprécié sur Netflix le récent Naked Director et que vous avez hâte d’être déjà à la saison 2 annoncée pour 2020, peut-être aurez-vous intérêt à vous plonger dans ce Dynamite Graffiti à peu près sur la même thématique, à savoir la difficulté de diffuser de… Lire la suite…

L’oiselle expatriée qui veut préserver son nid

Alors que j’étais dans les starting blocks pour me précipiter sur The Irishman dès qu’il sera disponible sur Netflix, petite surprise, la plateforme de streaming diffuse Eartquake Bird, film relatant les déboires amoureux (et peut-être meurtriers) d’une jeune expatriée habitant à Tokyo. Expatriée à Tokyo et exerçant le métier de… Lire la suite…