I are you, You am me (aka Exchange Students – Nobuhiko Obayashi – 1982)

Kazuo, collégien dans une petite ville de province, voir un jour débarquer dans son établissement Kazumi, une ancienne amie d’enfance. Très vite une complicité s’installe à nouveau entre les deux mais tout bascule lorsque, tombant tous deux d’un escaliers aux abords d’un temple, ils échangent leurs enveloppes physiques respectives. Kazumi,… Lire la suite…

Village of Doom (Noboru Tanaka – 1983)

Tsugio Inumaru, jeune homme bien sous tous rapports, lettré, intelligent, gentil, vivant encore chez sa mémé bref, un gars bien, est malgré tout cela un peu énervé car un souci de santé ne lui permet pas d’exaucer son plus cher désir : s’enrôler pour aller casser du soldat américain. Heureusement, il… Lire la suite…

At Noon (Gotô Kôichi – 1978)

Tadao revient à la maison familiale après un séjour à Tokyo. Taciturne, il trouve un petit boulot de réparateur d’appareils électrique et reprend contact avec un ami, Tetsuji, qui lui aimerait bien au contraire quitter la campagne pour monter à Tokyo afin de collectionner les conquêtes féminines… Belle incarnation du… Lire la suite…

The Teahouse of the August Moon (Daniel Mann – 1956)

Habituellement, un acteur occidental qui se grime, qui se met du fond de teint jaune et qui prend un accent ridicule pour endosser un rôle de Japonais moi, j’ai tendance à fuir. Mais que voulez-vous, quand l’acteur est un certain Marlon Brando, difficile de ne pas surmonter son aversion et… Lire la suite…

Take aim at the police van (Seijun Suzuki – 1960)

Un fourgon transportant des prisonniers est mystérieusement attaqué. Deux des passagers sont tués et Daijiro, le gardien chargé de les surveiller, récolte une mise à pied de six mois. Chômage forcé qu’il compte bien mettre à profit pour mener sa propre enquête…  Depuis le Grand Sommeil d’Howard Hawks on sait… Lire la suite…

Journey into Solitude (Koichi Saito – 1972)

Indépendance, voyage, nature, premiers émois sexuels, musique folk, voilà le cocktail que propose Journey into Solitude (Tabi no omosa), excellent petit film de 1972 sur l’apprentissage d’une jeune fille (dont on ne connaîtra jamais le prénom) qui décide de quitter son ennuyeuse vie de lycéenne ainsi que sa mère (qui… Lire la suite…

Melodies of a White Night (Sergey Solovev et Kiyoshi Nishimura – 1978)

  Ilya, un compositeur russe, se rend à Kyoto pour y effectuer l’enregistrement d’une de ses œuvres pour laquelle la pianiste sera Yuko, Japonaise russophile avait qui il avait connu une histoire d’amour un an auparavant à Leningrad. L’eau ayant coulé sous les ponts entretemps, et surtout le choc des… Lire la suite…

Daimajin (Kimiyoshi Yasuda – 1966)

  Dans la famille des kaiju eiga qui ne font pas mal aux yeux, je demande le grand, le magnifique, l’indestructible Daimajin. Et par la même occasion le trio de réalisateurs (Kimiyoshi Yasuda, Kazuo Mori et Kenji Misumi) qui, en 1966, réalisèrent d’un coup les trois opus qui sortirent l’année… Lire la suite…

les Salauds dorment en paix (Akira Kurosawa – 1960)

Lors de ma précédente critique sur Entre le Ciel et l’Enfer j’avais émis l’hypothèse qu’il s’agissait du film de Kurosawa ayant la fin la plus sombre, mais c’était sans compter sur les Salauds dorment en paix, film vu il y a bien longtemps et dont j’avais oublié le sombre dénouement.… Lire la suite…

Entre le Ciel et l’Enfer (Akira Kurosawa – 1963)

 A l’époque où j’ai vu Entre le Ciel et l’Enfer, mon image de Kurosawa était une image bien arrêtée, composée exclusivement de samouraïs, de ronins et autres shoguns. Autant dire que j’étais alors loin du compte et c’est un peu stupéfait en voyant ce film que je compris que, non,… Lire la suite…

Le Duel Silencieux (Akira Kurosawa – 1949)

Pas le plus connu, ni le meilleur de Kurosawa. Mais un Kurosawa quand même. Et de surcroit avec Toshiro Mifune et Takashi Shimura. Cela ne se refuse pas donc, d’autant que pour sortir Mifune des rôles de gangsters, Kurosawa le choisit pour lui faire jouer celui d’un médecin qui, durant… Lire la suite…