Chef-d’oeuvre qui n’a rien de vague

Les Contes de la lune vague après la pluie (Ugetsu mongatari) Kenji Mizoguchi – 1954 Tout vient à point à qui sait attendre. J’ai longtemps tourné autour d’Ugetsu, à la fois tenté et méfiant, redoutant de me retrouver face à une histoire au rythme lent, figée dans un univers traditionnel… Lire la suite…

Les Hommes qui marchèrent sur la queue du tigre (Akira Kurosawa – 1945)

Inspiré de l’inimité entre Minamoto no Yoritomo et son frère Yoshitsune, le film relate la fuite de ce dernier dans les montagnes et accompagné de six hommes déguisés en moines. Leur but est de franchir un poste frontière pour ne pas se faire capturer. Problème : les soldats du poste ont été prévenus… Lire la suite…

les Salauds dorment en paix (Akira Kurosawa – 1960)

Lors de ma précédente critique sur Entre le Ciel et l’Enfer j’avais émis l’hypothèse qu’il s’agissait du film de Kurosawa ayant la fin la plus sombre, mais c’était sans compter sur les Salauds dorment en paix, film vu il y a bien longtemps et dont j’avais oublié le sombre dénouement.… Lire la suite…