Variation autour de l’habituelle opposition modernité/tradition. La scène se passe à Fukuoka.
3 maikos VS 3 Hakata bijins. Les unes tout en chignons, les autres tout en jambes. Deux époques, deux styles, deux attraits également séducteurs.
Variation autour de l’habituelle opposition modernité/tradition. La scène se passe à Fukuoka.
3 maikos VS 3 Hakata bijins. Les unes tout en chignons, les autres tout en jambes. Deux époques, deux styles, deux attraits également séducteurs.
Hakata bijin, ça sonne bien
Les filles de Kyushu sont les plus belles du Japon, paraît-il.
Voilà un bon argument de voyage.
Bouffe-tout, en escale française à durée indéterminée.
« Hakata bijin » : je crois me souvenir que j’ai trouvé cette expression dans le Lonely Planet ! Le guide n’a pourtant pas l’habitude de faire des commentaires sur la beauté des Japonaises de telle ou telle ville mais là, apparemment, c’était incontournable tant les femmes de Fukuoka ont apparemment la réputation d’être belles.
Après, tout cela est un peu difficile à évaluer : j’y ai en effet croisé plein de jolies filles, mais comme dans toute grande ville japonaise serais-je tenté de dire.
Joli contraste. Les canons de beauté changent vraiment du tout au tout en fonction des époques. Une busu aujourd’hui sera un modèle demain. Une belle leçon de relativisme.
Bien sympa cette photo… le contraste et tout.
Ce qui est « marrant » c’est le fait que le cadrage soit oblique parce que si l’on reprend ton titre « 3 VS 3 », on peut dire que la modernité s’enfonce dans la tradition (qu’en gros cette dernière prend le pas) ou bien que la tradition coule emportant avec elle la modernité.. 😉 ouh là, j’arrête là, la branlette pseudo-intellectuelle… 🙂
j’arrête là, la branlette pseudo-intellectuelle…
Ma foi non, j’aime bien ce genre d’interprétation, pourquoi pas ?
Mais plus prosaïquement, ce cadrage oblique (un « tilt ») visait juste à apporter du dynamisme et, surtout, faire en sorte d’avoir dans le cadre la statue dans son intégralité et éviter de couper les gambettes, c’eût été dommage.
Personnellement, j’aime bien le fait que les maikos communiquent entre elles alors que les 3 nanas marchent côte à côte chacune dans leur bulle. Tellement contemporain.