On peut se moquer des jambes japonaises et de leur démarche parfois claudicante, moi j’aime. Sans aller jusqu’à dire que si j’avais été courtisan sous Louis XIV, j’aurais été amoureux fou de La Vallière, je ne peux cacher le fait que le spectacle de ces délicates bancroches, arborant sans complexe l’été leurs jambes nues, me touche infiniment. Ma passion pour les bonsaïs sans doute…
Les Callaïdes
La Plume viciée (22) : Deux cas de pisseuses mal torchées
La Plume viciée (21) : L’impertinence s’invite au bal littéraire
La Plume viciée (20) : La promesse de succès
Autres Voix : Combat de la princesse Ayamé contre Renzo Ôbaturo (FIN)
Autres Voix : Combat de la princesse Ayamé contre Renzo Ôbaturo (2)
+1 (de circonstance ^^)
Je partage ton goût pour les démarches maladroites, les talons hauts mal portés et les jambes pas toujours très fines bien souvent très sensuelles…
Le bonsai est une bonne entrée en matière effectivement, même si j’aime bien, dans un style plus moderne, les mini gundams…
Dis gashapons pendant que tu y es!
Mais tu as raison, la finesse n’a rien à voir avec la sensualité en matière de gambettes.
un peu de gambettes
http://img385.auctions.yahoo.co.jp/users/3/9/3/7/shojukinabenkyokadane-img441x600-12891400603bgcwi16574.jpg
Sympa… dommage qu’il y ait cet horrible pantalon 70’s. Ah! je crains ne pas avoir la bonne disposition d’esprit actuellement pour les apprécier, je suis concentré sur un autre type de fétiche pour mon prochain article pour DC. Je reprendrai un rail de gambettes japonaises un peu plus tard…
Que le grand Hisayasu te trouble!
Pour la gambette, il n’y a pas trop à cogiter, juste voir que certaines perspectives 68ardes pouvait facilement tripler la longueur moyenne d’une jambe nippone 😀