Les Callaïdes
La Binocleuse zélée (15) : Coquetterie en devenir nichée dans les oreilles
La Binocleuse zélée (14) : L’estrange pouvoir de la modiste aux cent mains
La Binocleuse zélée (13) : Extase de la belle vêture
La Binocleuse zélée (12) : Du pouvoir d’une enseigne légère dans un esprit lettré
La Binocleuse zélée (11) : Polyphonie flatteuse d’une meute de renards
La Binocleuse zélée (10) : Faire bonne impression devant un rugueux imprimeur
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Disque rayé de vie quotidienne
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J’aime bien ! Y a du mouvement tout en ayant un aspect figé comme s’ils posaient. C’est très étrange comme sensation. Des poupées de cire abîmées, rongées, usées par le temps… elle me fout les jetons ta photo sans déc’.
Dites moi, mon cher, me tromperais-je en disant que cette photo a été retouchée depuis mon premier passage sur ce post ?
Oui, il manque un personnage à la pilosité fort peu japonaise.
@ A.rnaud & Bouffe-tout : disons que la présence de ce vigoureux et fascinant athlète sur le reflet n’apportait rien par rapport au titre. Dans d’autres circonstances, je l’eusse laissé.
tant qu’il nous trafique pas les bijin, on les a tjs voulue nature .. là par contre on pourrait lui en vouloir et sevir! 🙂
Connais-tu cette réplique d’Eureka coupée au montage ?
« Des bijins vont venir. Bientôt j’en suis sûr ».