Les Callaïdes
La Binocleuse zélée (15) : Coquetterie en devenir nichée dans les oreilles
La Binocleuse zélée (14) : L’estrange pouvoir de la modiste aux cent mains
La Binocleuse zélée (13) : Extase de la belle vêture
La Binocleuse zélée (12) : Du pouvoir d’une enseigne légère dans un esprit lettré
La Binocleuse zélée (11) : Polyphonie flatteuse d’une meute de renards
La Binocleuse zélée (10) : Faire bonne impression devant un rugueux imprimeur
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In my dreams
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Très jolie photo…
Avec un poil de mystère :
Avons-nous là une image du repos du guerrier après (ou avant, c’est selon) la bataille, ou bien une image du repos éternel ?
Qui nous dit que le bougre ne vient pas de se faire refroidir par Mireille et sa Noir de copine et que le photographe ne va pas en profiter pour larciner les effets personnels du défunt après lui avoir uriné dessus, bien sûr ?
« Avons-nous là une image du repos du guerrier après (ou avant, c’est selon) »
Tu oublies une troisième possibilité : « pendant ». Pourquoi crois-tu que j’aie fait un cadrage au niveau de la ceinture ? Tout simplement parce que la décence m’interdisait de montrer sur ce blog des choses que la morale réprouve. C’est d’ailleurs pour cette même raison que je ne posterai pas la photo en plongée, au-dessus de sa bouche, juste au moment où je lui urine dedans.
effectivement le « pendant » m’a traversé l’esprit (et la coquine du fond se rince l’oeil)… comment on dit blowjob au japanisthan au fait? En plus on voit le couvre-chef au photographe!