Un lagon bleu tirant sur le rose

Déjà la deuxième quinzaine de juillet et toujours pas de critique pinku ! La saison chaude s’y prête pourtant bien. Réparons cela avec rien moins qu’une série de cinq critiques — oui, vous avez bien lu, cinq critiques ! – où il sera question de bijins, de maillots de bain,… Lire la suite…

Nurse’s Confession (Komie – 2009)

Et l’on reprend aujourd’hui un film de genre particulier, le « film de Sora Aoi ». On croit les avoir tous vus quand tout à coup d’autres apparaissent comme par magie. Comment les refuser sachant que Bulles de Japon a pour projet parmi ses multiples but de dresser un panorama de l’intégralité… Lire la suite…

Wet Hot Sake (Yoichi Noshiyama – 1996)

Après la neige et le froid, autre thème de circonstance : l’alcool. A J-1 du réveillon, vous pensez êtes fin prêt : un moelleux délicat pour le foie gras, un sec distingué pour les huîtres, un rouge légèrement boisé pour le chapon et un champagne à se damner pour le dessert. Tout… Lire la suite…

Kandagawa Pervert Wars (Kiyoshi Kurosawa – 1983)

  Après les perfections formelles que sont Tokyo Sonata, Shokuzai et Real, forcément, se plonger dans un vieux pinku de Kurosawa, c’est l’assurance de se faire mal aux yeux. Sans être non plus des œuvres de jeunesse (Kurosawa à la trentaine lorsqu’il réalise Kandagawa Pervert Wars et the Excitment of… Lire la suite…

I love it from behind ! (Kôyû Ohara – 1981)

100, c’est le chiffre que Mimei s’est donné d’atteindre durant son séjour à Tokyo avant qu’elle retourne dans sa province pour se marier. Cent quoi ? Ceci :   Oui, une magnifique collection de vits imprimés à l’encre de Chine en souvenir de ses conquêtes masculines. Et, qu’on se le dise, le… Lire la suite…

Tsumugi (Hidekazu Takahara – 2004)

Le film qui va clore notre cycle gentiment obsessionnel sur Sora Aoi s’intitule Tsumugi. Enfin ça, c’est son titre international, car son titre original est Seifuku bishōjo: Sensei atashi wo daite que l’on pourrait traduire par « la beauté en uniforme de lycéenne : professeur, tronchez-moi comme une bête ! ». Comme la confusion… Lire la suite…

Shameless : abnormal and abusive love (Teruo Ishii – 1969)

Voir un film de Teruo Ishii c’est l’assurance d’assister  à un spectacle un minimum barré et original. Ce Shameless : abnormal and abusive love (Ijô seiai kiroku : harenchi) n’échappe pas à la règle avec une histoire simplissime mais traitée d’une manière pop-psychédélique bien de son époque mais aussi à la… Lire la suite…

Man, Woman and the Wall (Masashi Yamamoto – 2006)

  Envie de voir un pinku récent fait avec trois francs six sous mais qui vous donnera l’impression à la fin de ne pas avoir perdu votre temps ?  N’allez pas plus loin, Man, Woman and the Wall (titre international plus pertinent que Kikareta Onna, « la femme écoutée ») est fait pour… Lire la suite…

Pleasure Masturbation : New Wife Version, d’Hisayasu Satô (1993)

Ne vous moquez pas. Ces dames respectables sont les membres du SJTMFC (Seniors Japanisthan Trash Movies Fan Club). Ayant apprécié mes deux précédents articles sur Hisayasu Satô, ces vieilles vicelardes m’ont envoyé pour Noël une grosse boîte de toffees à la liqueur (curieuse la liqueur d’ailleurs) en me priant d’en… Lire la suite…

Hello, my dolly Girlfriend (Takashi Ishii – 2013)

Sexe, violence, néons et humidité. Voilà en gros les quatre ingrédients qu’utilise Takashi Ishii avec des dosages différents d’un film à l’autre. Cela ne date pas d’hier, mangaka à ses débuts dans les années 70, ses œuvres de la veine gekiga racontaient des histoires choquantes de filles se faisant violer… Lire la suite…