Shameless : abnormal and abusive love (Teruo Ishii – 1969)

Voir un film de Teruo Ishii c’est l’assurance d’assister  à un spectacle un minimum barré et original. Ce Shameless : abnormal and abusive love (Ijô seiai kiroku : harenchi) n’échappe pas à la règle avec une histoire simplissime mais traitée d’une manière pop-psychédélique bien de son époque mais aussi à la… Lire la suite…

The Executioner (Teruo Ishii – 1974)

Dans mon esprit, Teruo Ishii est un peu un frère de Norifumi Suzuki : un faiseur de divertissements qui à peu près à la même époque a arrosé le cinéma japonais d’une pléthore de films de série B. Pas toujours avouables, parfois frôlant le nanar mais la plupart du temps efficaces… Lire la suite…

(Poster) Ankokugai no kaoyaku – juichinin no gyangu (1963)

Réalisé par Teruo Ishii, ce Boss of the Underworld : eleven gangsters appartient au cycle des gyangu, une série de 11 films réalisés dans les 60’s. Ceux-ci prennent place à l’ère Showa pour servir aux spectateurs un programme simple mais efficace : yakuza chevaleresques, petites pépés et combats au flingue.… Lire la suite…

Bakuhatsu! Boso yugi (Teruo Ishii – 1976)

Bakuhatsu! Boso yugi de Teruo Ishii vient d’inaugurer ma découverte d’un  genre particulier : le bosozuku eiga, le film de motard (précisons : le motard violent). Si j’ai commencé le visionnage sans grande conviction, j’ai assez vite compris que ce film allait être assez jubilatoire. Car dès le premier quart d’heure, un… Lire la suite…