White Lily (Hideo Nakata – 2016)

Une année après leur sortie au Japon, il est temps maintenant de songer à faire un retour des cinq films chargés de faire l’opération « Roman Porno Reboot » de la Nikkatsu. Commençons avec White Lily, de Hideo Nakata : Après la mort tragique de son mari, Tokiko, une potière réputée, continue… Lire la suite…

Koji Wakamatsu midiminuiste

Quand il n’y a pas trop d’idées d’articles, il y a toujours la possibilité d’ouvrir la vieille malle numérique dans mon grenier pour y exhumer des documents rares et précieux. Les « midiminuistes » le savent, la rareté de la vieille revue Midi-Minuit Fantastique est devenue relative puisque les éditions Rouge Profond… Lire la suite…

Red Violation (Chusei Sone – 1980)

Le train train quotidien du groupe de rock The Devils, avec ses disputes, ses difficultés financières, ses sessions d’enregistrements, ses concerts et ses groupies… 赤い暴行 (Akai Bôkô) Red violation est à mettre dans le même panier que Shinjuku Midaregai en ce sens que Sone cherche moins à multiplier les scènes… Lire la suite…

Chusei Sone fait la tournée des bars

Coup dur la semaine dernière pour la préfecture de Kumamoto avec ce tremblement de terre et ces innombrables répliques entraînant 41 morts. Mais de manière beaucoup plus confidentielle, moins spectaculaire (et heureusement moins grave) coup dur aussi pour la Golden Gai, ce quartier de Shinjuku dans lequel se côtoient des dizaines… Lire la suite…

Pleasure Campus, Secret Games (Tatsumi Kumashiro – 1980)

Sachiko, jeune lycéenne bien sous tous rapports, a la malchance d’être née sous une mauvaise étoile et surtout de faire sa scolarité dans un bien étrange lycée. Punie pour s’être dénoncée comme instigatrice d’un chahut (elle s’est en fait accusée pour protéger le réel coupable pour lequel elle en pince… Lire la suite…

Pink Cut : Love me big, love me deep (Yoshimitsu Morita – 1983)

Mami  dirige un salon de coiffure dont la particularité est d’avoir des employées jolies et sexy. Cela attire évidemment le chaland mâle et plus encore lorsqu’elles décident d’offrir des services un peu spéciaux lorsque leur patronne n’est pas là. Au Japon, la satisfaction du client n’est pas une vaine expression,… Lire la suite…

Pleasure at Hot Spring (Atsushi Fujiura – 1981)

Le petit monde travaillant dans un paisible onsen est en émoi : une rumeur selon laquelle un trésor serait caché non loin lui vaut d’être submergé par un flot de badauds intéressés par l’idée d’être millionnaire. Au programme de leurs journées deux types de chasses au trésor : les pièces d’or le… Lire la suite…

Horny Diver : Tight Shellfish (Atsushi Fujiura – 1985)

Zetsurin ama : shimarai gai Moi, dans ces périodes de fortes chaleur, je dégaine tout de suite ma piscine gonflable dans le jardin ainsi que ma machine à kakigori de compétition : Des machines Gari Gari Kun, doit pas y en avoir des masses en France. Que voulez-vous, on a la classe… Lire la suite…

Nurse’s Confession (Komie – 2009)

Et l’on reprend aujourd’hui un film de genre particulier, le « film de Sora Aoi ». On croit les avoir tous vus quand tout à coup d’autres apparaissent comme par magie. Comment les refuser sachant que Bulles de Japon a pour projet parmi ses multiples but de dresser un panorama de l’intégralité… Lire la suite…

Wet Hot Sake (Yoichi Noshiyama – 1996)

Après la neige et le froid, autre thème de circonstance : l’alcool. A J-1 du réveillon, vous pensez êtes fin prêt : un moelleux délicat pour le foie gras, un sec distingué pour les huîtres, un rouge légèrement boisé pour le chapon et un champagne à se damner pour le dessert. Tout… Lire la suite…

Sweet Whip (Takashi Ishii – 2013)

Takashi Ishii ou un petit dernier pour la route. Point d’alcool ici, je veux bien sûr parler d’un pinku avant d’aller œuvrer du côté des yakuza eiga (avec une suite à l’excellent Gonin). On ne va pas s’en plaindre, surtout lorsqu’on est assuré d’avoir dans le rôle principal la sculpturale… Lire la suite…