Tsumugi (Hidekazu Takahara – 2004)

Le film qui va clore notre cycle gentiment obsessionnel sur Sora Aoi s’intitule Tsumugi. Enfin ça, c’est son titre international, car son titre original est Seifuku bishōjo: Sensei atashi wo daite que l’on pourrait traduire par « la beauté en uniforme de lycéenne : professeur, tronchez-moi comme une bête ! ». Comme la confusion… Lire la suite…

Shameless : abnormal and abusive love (Teruo Ishii – 1969)

Voir un film de Teruo Ishii c’est l’assurance d’assister  à un spectacle un minimum barré et original. Ce Shameless : abnormal and abusive love (Ijô seiai kiroku : harenchi) n’échappe pas à la règle avec une histoire simplissime mais traitée d’une manière pop-psychédélique bien de son époque mais aussi à la… Lire la suite…

My Wife’s Shell (Ryuichi Honda – 2005)

  Un sujet classique d’histoire dans les pinku contemporains est le personnage qui a un souci avec un corps  qui ne lui permet pas d’espérer une vie sexuelle et sentimentale au beau fixe. Ryuichi Honda s’inscrit pleinement dans cette thématique puisque les deux films de diptyque érotique présentent des personnages… Lire la suite…

Man, Woman and the Wall (Masashi Yamamoto – 2006)

Envie de voir un pinku récent fait avec trois francs six sous mais qui vous donnera l’impression à la fin de ne pas avoir perdu votre temps ?  N’allez pas plus loin, Man, Woman and the Wall (titre international plus pertinent que Kikareta Onna, « la femme écoutée ») est fait pour vous.… Lire la suite…

Pleasure Masturbation : New Wife Version, d’Hisayasu Satô (1993)

Ne vous moquez pas. Ces dames respectables sont les membres du SJTMFC (Seniors Japanisthan Trash Movies Fan Club). Ayant apprécié mes deux précédents articles sur Hisayasu Satô, ces vieilles vicelardes m’ont envoyé pour Noël une grosse boîte de toffees à la liqueur (curieuse la liqueur d’ailleurs) en me priant d’en… Lire la suite…

Hello, my dolly Girlfriend (Takashi Ishii – 2013)

Sexe, violence, néons et humidité. Voilà en gros les quatre ingrédients qu’utilise Takashi Ishii avec des dosages différents d’un film à l’autre. Cela ne date pas d’hier, mangaka à ses débuts dans les années 70, ses œuvres de la veine gekiga racontaient des histoires choquantes de filles se faisant violer… Lire la suite…

(The DC Archives) Hisayasu « 30 millions d’amis » Satô

Place aujourd’hui sur bulles de Japon à la plus belle conquête de l’homme. Vous avez pleuré devant Jappeloup ? Apprêtez-vous à avoir les yeux qui saignent devant le film du jour. J’espère que vous avez bien apprécié l’image acidulée qui ouvre l’article car il n’y en aura plus d’autres. Allez,… Lire la suite…

(the DC Archives) Quand la Rose Noire se fait tatouer

Kashin no irezumi : Ureta Tsubo est probablement le premier roman porno que j’aie vu. Il faut bien l’avouer, j’aurais pu tomber plus mal tant les productions de la Nikkatsu de cette époque sont inégales. Mais voilà, coup de bol, il s’avère que la Vie Secrète de Madame Yoshino (titre… Lire la suite…