Sumo do, sumo don’t (Masayuki Suo – 1992)

Shuhei Yamamoto, étudiant un rien glandeur, aimerait bien valider son année mais il y a un os. Son prof principal, Anayama, n’est pas dupe de son absentéisme qu’il a camouflé sans doute par des feuilles d’émargement signées par des potes. Il lui propose cependant ce marché : comme Anayama, ancien glorieux… Lire la suite…

Freeze Me (Takashi Ishii – 2000)

Tout va bien pour Chihiro, jolie employée épanouie sur tous les plans. Aucun souci pour son travail et côté sentimental, le mariage avec son petit ami collègue de bureau n’est plus très loin. Tout bascule lorsque fait irruption dans sa petite vie tranquille Hirokawa. Particularité : cinq ans plus tôt cet… Lire la suite…

Kani Goalkeeper (Minoru Kawasaki – 2006)

Vous n’avez jamais aimé le foot ? Vous conchiez les supporters abrutis qui sévissent dans les stades à coups d’éructations racistes et d’insondables vulgarités ? Vous vomissez ces joueurs qui gagnent des sommes indécentes rien qu’en tapant dans une baballe ? Voir le vieux barbon  Blatter 1er se faire réélire une cinquième fois… Lire la suite…

Sweet Whip (Takashi Ishii – 2013)

Takashi Ishii ou un petit dernier pour la route. Point d’alcool ici, je veux bien sûr parler d’un pinku avant d’aller œuvrer du côté des yakuza eiga (avec une suite à l’excellent Gonin). On ne va pas s’en plaindre, surtout lorsqu’on est assuré d’avoir dans le rôle principal la sculpturale… Lire la suite…

Tokyo Fist (Shinya Tsukamoto – 1995)

S’il y a un thème que Tsukamoto s’est plu à traiter dans ses films, c’est bien celui de l’aliénation. De Tetsuo au récent Kotoko, elle est quasi omniprésente, prenant des expressions diverses et inégales mais toujours étonnantes. Ainsi ce Tokyo Fist qui n’est pas un film porno mais un film… Lire la suite…