Monsters Club (Toshiaki Toyoda – 2011)

  On voit assez ce qui a pu intéresser Toyoda dans l’histoire de Ted Kaczynski, ce terroriste américain qui, pendant des années, a envoyé des colis piégés à des entreprises (industrielles, publicitaires, télévisuelles…) incarnant selon lui une société manipulatrice et aliénante. C’est que tous les personnages de Toyoda – ou… Lire la suite…

(The DC Archives) La Dernière Séance Japanisthanaise : ce soir, Naked Pursuit

Ma dernière critique sur le film de Wakamatsu dans lequel il est question d’une bijin voluptueuse aux seins lourds courant nue dans un désert poursuivie par un mâle m’a rappelé l’existence de Naked Pursuit, pinku dans lequel un mâle court, dans le désert, après, devinez quoi ? une bijin nue… Lire la suite…

Petrel Hotel Blue (Koji Wakamatsu – 2012)

Putain de taxi. Oui, mille fois maudit le taximan qui renversa le 12 octobre dernier Koji Wakamatsu. Car malgré ses 76 ans, force est de constater que le vieux avait encore de beaux restes sur le plan cinématographique. United Red Army bien sûr, sans doute son dernier chef-d’œuvre, mais aussi… Lire la suite…

Guilty of Romance (version longue japonaise)

  Guilty of Romance fait partie de ces films disposant de deux versions et dont on est bien en peine de déterminer laquelle est la meilleure. La version internationale ou la version japonaise, plus longue d’une demi-heure ? Pour beaucoup, the longer, the better. Mais pour d’autres aussi, il y a… Lire la suite…

Sayonara (Joshua Logan – 1957)

  Que j’aime ces vieilleries d’Hollywood technicolorisées ! Et que j’aime ces représentations d’un Japon de carte postale, très cliché mais en même temps avec un effort pour restituer un Japon un peu plus populaire et réaliste.  Et quand par-dessus le marché on a plus ce type en guise de personnage principal :… Lire la suite…

the Land of Hope (Sion Sono – 2012)

Trois couples, trois générations, trois façons de gérer une crise à la Fukushima. C’est ce que propose le dernier film de Sion Sono après un Himizu adpaté d’un manga, qui avait déjà en germe l’idée d’une crise nucléaire. Mais c’était seulement en germe, l’évocation en arrière-plan de la catastrophe de… Lire la suite…

Strange Circus et la Trilogie de la haine

  L’époque où Sion Sono était un cinéaste connu seulement des happy few est-elle en passe d’être révolue ? C’est, après la sortie sur les écrans français de Guilty or Romance et de Land of Hope, ainsi que celle en blu-ray de Love Exposure, ce que l’on serait tenté de croire.… Lire la suite…

Like Someone in love (Abbas Kiarostami – 2012)

Kiarostami fait partie de ces cinéastes que j’ai jusqu’à présent royalement ignorés. Pourtant pas faute de s’ouvrir à d’autres horizons culturels, ceux qui ont l’habitude de lire ce blog auront compris que le Japon est loin de diriger exclusivement mes goûts. Mais malgré cela, certains maîtres (ou simplement auteurs dignes d’intérêt) continuent… Lire la suite…

Bijin de la semaine (29) : Adele Yoshioka

Aujourd’hui une bijin-de-la-semaine sur laquelle je ne m’étendrai pas (mais lors de ses jeunes années, j’eusse aimé, j’avoue) car je n’ai sous la main que très peu de matière à disposition. L’iconographie sera donc bien maigre mais si vous aimez les magnum .44, San Francisco et la musique de Lalo… Lire la suite…