les Salauds dorment en paix (Akira Kurosawa – 1960)

Lors de ma précédente critique sur Entre le Ciel et l’Enfer j’avais émis l’hypothèse qu’il s’agissait du film de Kurosawa ayant la fin la plus sombre, mais c’était sans compter sur les Salauds dorment en paix, film vu il y a bien longtemps et dont j’avais oublié le sombre dénouement.… Lire la suite…

Shameless : abnormal and abusive love (Teruo Ishii – 1969)

Voir un film de Teruo Ishii c’est l’assurance d’assister  à un spectacle un minimum barré et original. Ce Shameless : abnormal and abusive love (Ijô seiai kiroku : harenchi) n’échappe pas à la règle avec une histoire simplissime mais traitée d’une manière pop-psychédélique bien de son époque mais aussi à la… Lire la suite…

My Wife’s Shell (Ryuichi Honda – 2005)

  Un sujet classique d’histoire dans les pinku contemporains est le personnage qui a un souci avec un corps  qui ne lui permet pas d’espérer une vie sexuelle et sentimentale au beau fixe. Ryuichi Honda s’inscrit pleinement dans cette thématique puisque les deux films de diptyque érotique présentent des personnages… Lire la suite…

Entre le Ciel et l’Enfer (Akira Kurosawa – 1963)

 A l’époque où j’ai vu Entre le Ciel et l’Enfer, mon image de Kurosawa était une image bien arrêtée, composée exclusivement de samouraïs, de ronins et autres shoguns. Autant dire que j’étais alors loin du compte et c’est un peu stupéfait en voyant ce film que je compris que, non,… Lire la suite…

(The DC Archives) Omelette norvégienne à la sauce bijin du chef : Petter Hegre à Tokyo

  Bon, deux ans après, l’eau a quelque peu coulé sur les ponts et je dois dire que j’en suis un peu revenu du père Hegre. Trop mécanique, trop artificiel dans sa variété, trop industriel. Mais comme cela faisait un bout de temps que je n’avais pas sorti un article… Lire la suite…

Tokyo Fist (Shinya Tsukamoto – 1995)

S’il y a un thème que Tsukamoto s’est plu à traiter dans ses films, c’est bien celui de l’aliénation. De Tetsuo au récent Kotoko, elle est quasi omniprésente, prenant des expressions diverses et inégales mais toujours étonnantes. Ainsi ce Tokyo Fist qui n’est pas un film porno mais un film… Lire la suite…