Qu’est ce que je foutais à l’école maternelle ? Ceci : l’école à deux pas de la maison de ma belle-famille proposait d’accueillir au mois de juillet les enfants « de passage » dans le quartier. Par exemple les gamins en vacances chez papy mamy ou, évidemment, les enfants de gaijin français séjournant dans les parages. Histoire de voir comment notre gamin réagissait en compagnie d’enfants japonais de son âge, nous nous y sommes rendus.
Ce service n’était pas vraiment quotidien : seulement le mardi matin, et encore pendant une heure, de 11H à midi! Et seulement en présence des parents, pour des raisons d’assurance j’imagine. Finalement, une petite expérience pas si agréable puisque les instituteurs ignoraient royalement les nouveaux-venus. Ils ne semblaient vouloir prendre aucun risque et c’était aux parents de surveiller et éventuellement de remonter les bretelles à leur progéniture. Autant dire que c’était plus une heure de centre aéré qu’une réelle situation d’apprentissage.
Au début, j’étais en train de me dire, cool comme initiative et puis en continuant à te dire, ouais, c’est vite fait. Bon, ça permet au môme de se faire une p’tite expérience d’une heure, ça reste sympa.
Sinon, sympa aussi certaine de tes photos. C’est pas toujours cadré au mieux mais y en a des pas mal… ma copine confirme la chose.
Oui, c’est sympa mais franchement, si c’était à refaire, je ne sais pas si je retenterais l’expérience. On a l’impression que son gamin est à la fois présent et ignoré. Bof…
Merci pour les photos. Pour le cadrage, et surtout le recadrage, c’est quelque chose que je relativise de plus en plus en ce qui concerne la photographie de rue où tu dois dégainer vite et bien et où les bavures de cadrage sont quasi inévitables. J’essayais avant, durant le postprocessing, de faire ça aux petits oignons, de rattraper le coup et puis maintenant, j’avoue que je fais ça à la serpe. Mais comme la photographie est un éternel recommencement (du moins en ce qui me concerne), peut-être que dans un mois je ne pourrai plus blairer mes photos et que je reprendrai à zéro leur retouche.
Tu pratiques un peu la photo ?
Non mais c’est comme si. Ma copine avec qui je partage le blog est à fond dedans donc le language attrait à la photographie, je commence à connaître. Bien que des fois ce n’est pas si éloigner de la photo d’un film.
Elle s’est enfin achetée un réflex après avoir poussé jusqu’au boutisme un vieux numérique. J’ai la tête grosse comme ça avec tout les objectifs qui existent, bref c’est cool. Mais elle doit encore bosser. 🙂
Petit aperçu :
http://www.flickriver.com/photos/52163621@N05/popular-interesting/
Ça va, elle a un univers très varié et ne se contente pas d’un seul type de photographie. Je pense à la macro, domaine qui m’est totalement inconnu.
On voit qu’elle a des idées, une certaine maîtrise et que la présence d’un reflex entre ses mains n’est pas une anomalie. Bon, je ne suis pas tellement fan des portraits du début qui sentent trop la pose artificielle. En revanche, celui intitulé « songe » est assez chouette. J’aime bien aussi celle sur la rue St-Denis (celle en couleur) et « Reflet de Belleville ».
Dommage qu’elle n’ait pas beaucoup de retours sur Flickr, les commentaires, surtout critiques, sont essentiels pour progresser. J’ai fait mes gammes personnellement sur Trekearth. À l’époque (il y a 4 ou 5 ans) il y avait des photos à tomber par terre. On était dans l’amateursime qui louchait du côté du semi-professionnalisme et qui, franchement, n’avait parfois rien à envier à quantité de d’ouvrages photographiques que l’on trouve dans le commerce. Moi, bien humble avec mes médiocres photos de touriste prises au Japon, j’ai essayé de jouer le jeu, de laisser des commentaires sur des photos qui m’impressionnaient histoire d’avoir en retour des avis de ces types qui avaient à mes yeux un niveau hallucinant. De fil en aiguille, en commentant des centaines de photos et en recevant des commentaires sur mes photos, j’ai pu progresser et véritablement choper le virus de la photographie. C’est véritablement très prenant quand on dépasse le stade de la photo de carte postale de vacances mais ça, je ne t’apprends rien, tu dois bien le voir avec ta copine.
Le revers de la médaille, c’est qu’il y a un système un peu imbécile de points qui contribue à polluer la sincérité des commentaires. Certains sont obsédés par cela : les points et uniquement cela, qu’importe si le commentaire se limite à un médiocre : « Great colors, nice POV! ». À prendre avec des pincettes donc, d’autant que pas mal de (brillants) membres, écoeurés par un système qui peut dériver vers la congratulation en circuit fermé, ont déserté la place. J’y retourne de temps à autre mais sans grande conviction, et surtout faute de temps avec deux blogs auxquels je participe. Le fait est aussi que la photo de rue est un peu moins représentée, même s’il y a parfois un regain d’intérêt.
Mais pour peu que l’on tombe sur des gens intéressants et, surtout, sincères dans leurs commentaires et indifférents aux points, ça vaut vraiment le coup pour progresser.
Ouais, moi aussi les clichés « posés » pas trop mon truc et tu révèles finalement les photos qui m’ont le plus tapé à l’oeil dans sa sélection.
Quant aux retours, je ne suis pas un initié de cet univers mais j’ai des échos qui s’entrecoupent avec les tiens. Surtout à un moment donné, le côté « tout est beau, tout est joli », on ne fâche personne et on sera bien récompensé. Tout ceci manque cruellement de sincérité.
Mais tu as raison. La critique est bonne pour continuer à avancer et à progresser. C’est d’ailleurs ce que mon amie recherche, en plus de partager de manière globale.
Après en ce qui me concerne, j’avoue aimé les clichés prit sur le vif, qui te font ressentir l’effervescence d’une rue, d’un lieu, une vie qui se déplace. C’est ce que j’aime plus que tout et c’est pour cela aussi que certaines de tes photos me plaisent. En même temps, j’ai du mal à être objectif parce que c’est exactement ce que je ferais (le plus) armé d’un appareil.
Finalement, la photo ça devient en ce qui me concerne comme la lecture des critiques ou des avis sur un film. Je préfère cent fois m’arrêter sur un « non-pro' » qu’un « pro' ». Même si tout n’est pas toujours intéressant dans la photo d’un passionné non-professionnel ou semi-pro’, il peut avoir un oeil, une spontanéité que je trouve incroyable et passionnante. Et finalement comme tu le dis, tu peux parfois trouver bien mieux que le contenu de certains ouvrages. Et j’en ai feuilleté et y en a… pouh, pouh, pouh. Je pige pas, je suis des plus circonspect en me répétant : Ils parviennent à avoir un éditeur… ça. Enfin, bref.
Salut Olrik,
J’ai lu avec attention ton retour concernant les quelques clichés que j’ai pris et je vais dans ton sens (comme celui d’I.D) sur les poses trop réfléchies et finalement pas assez naturelles. C’était une première avec la demoiselle et en terme de direction j’avais du mal (j’ai toujours du mal mais bon j’essaie de créer des occasions de photographier et m’entraîner). Quand je fais des portraits j’aime en général ne pas dicter de poses et discuter avec la personne pour en extraire les expressions les plus intéressantes… mais bon ce n’est pas toujours chose aisée.
J’ai ouvert mon flickr il y a 2-3 semaines je crois, très récemment. Donc pour le moment je montre les clichés à peu près potables à mes proches en particulier et aux modèles en passants. Pour les critiques constructives, je m’aventures sur Virusphotos, un site/forum que j’apprécie. J’ai soumis une sélection de photos qui ont suscitées des réactions variées et surtout pas mal de conseils en terme de composition (c’est pas mon fort apparemment)… Pas facile de lire certaines critiques mais bon il faut pour avancer comme tu le dis si bien.
J’ai parcouru ton portfolio et j’aime assez ton boulot. Ces clichés urbains, pris sur le vif, la spontanéité en somme… Je t’envie de pouvoir ainsi dégainer ton appareil. A paris, j’ai eu à mainte reprise envie de capter des visages / expressions mais difficile d’établir le lien avec les personnes que je croise. Et j’ai l’impression que c’est encore plus dur quand tu es dans ton pays. A l’étranger, l’appréhension est moins grande et je parviens plus facilement à échanger en un sourire, une demande informelle…
D’ailleurs je me demandais quelle était ton approche au japon ? Et ton matériel, utilises-tu de longues focales pour te faire discret ou y vas-tu franco ?
Bonsoir Diana, et un grand bienvenue car je crois bien que c’est le premier commentaire féminin que j’ai le plaisir de lire ici.
Bon, par quoi commencer?
D’abord ceci : je suis allé faire un tour par curiosité sur virusphoto pour voir les commentaires. Ça pinaille sec mais c’est du pinaillage nécessaire quand on débute. Sans t’en apercevoir, tu vas t’imprégner de ces détails que l’on soulève dans les commentaires et ton œil sera plus aiguisé. Virusphoto me paraît donc plutôt une bonne école, à condition bien entendu de ne pas jouer la carte du copinage et de balancer des « magnifique! » à des photos mal foutues.
Tiens, un lien qui peut t’intéresser :
http://www.photoholik.com/
Le site a été monté à l’origine par des membres de Trekearth, écœurés par la tournure que prenait le site. Je parlais à I.D. d’amateurisme éclairé, là on est en plein dedans même si le site a parfois des allures de petite chapelle un peu ridicule (il faut d’ailleurs montrer patte blanche pour en être, c’est-à-dire soumettre 5 photos à un petit comité qui validera – ou non – ton adhésion).
Pour ce qui est de prendre sur le vif des scènes dans la rue, je ne te conseille pas vraiment les grandes focales. Lors de mon premier voyage au Japon, j’avais un bridge Panasonic avec un puissant zoom stabilisé. Je trouvais ça alors plutôt cool, bien pratique, on pouvait prendre les gens sans se faire remarquer. Mais voilà : les scènes captées à une trentaine de mètres ont nettement moins d’impact que si elles avaient été prises juste à côté des passants. En d’autres termes, le 300mm c’est bien si tu vas en Afrique pour la chasse aux grands fauves. Dans la rue c’est inutile. Reste l’éternel obstacle : la timidité, la peur d’être repéré, peut-être houspillé. Là, il y a deux écoles :
– Celle qui consiste à prendre au plus près et dans la plus grande discrétion les sujets afin de ne pas être repérés par eux. Il y a différents trucs pour cela, il faudrait que je retrouve un lien sur lequel j’étais tombé, ça t’intéressera.
– Celle qui consiste au contraire à créer une interaction avec le sujet. Un sourire, un geste ou un regard fugitif, cela donne tout de suite l’impression d’être plongé dans l’action, chose que l’on n’a pas avec une longue focale.
Perso, j’aime bien ces deux approches. D’une manière générale j’essaye de ne pas faire l’attention mais avec ma taille c’est pas toujours gagné. Je me fais donc souvent repérer mais ce n’est pas plus mal. En tout cas, je n’ai jamais essuyé des remarques désagréables, j’ai en fait surtout souvenir de réactions spontanées agréables. Il faut croire que j’ai une gueule sympa! Au pire j’ai pu essuyer une moue désapprobatrice ou méprisante. Mais c’est tout. Qu’est-ce que l’on risque après tout? On prend juste une photo. Quelle chance y a-t-il de tomber sur un cinglé qui va péter un câble parce qu’il s’est fait prendre en photo? Après, il y a toujours la possibilité de prévenir les gens qu’on va les prendre en photo, technique courante mais que je n’ai pas pratiquée. En tout cas tu as raison, il est peut-être plus simple de faire de la photo de rue à l’étranger même si je pense qu’à la longue, le faire dans son propre pays ne doit pas poser plus de difficultés que cela.
Tiens, là aussi un truc me revient, il faudrait que je te donne le lien d’une vidéo montrant la technique très particulière d’un célèbre photographe américain. Hilarant!
Enfin, pour mon « approche au Japon », disons que, pour faire simple, je suis fasciné par les scènes de rues et les expressions terriblement photogéniques des japonais. Du coup, le bonheur en photographie se résume pour moi en des heures à arpenter dans tous les sens le bitume d’un quartier, l’œil aux aguets et le réflex remplaçant littéralement ma main droite. Difficile pour moi d’avoir meilleur terrain de jeu qu’une ville japonaise, c’est véritablement une excitation de tous les instants. Dans quelques jours, je me rends à Stockholm, je suis assez curieux de voir si les sensations vont être les mêmes.
Bon, je m’aperçois que ça fait beaucoup mais je crois avoir répondu à tes questions.J’essaierai de poster demain les deux liens que j’ai évoqués. En tout cas, cette petite discussion avec toi et I.D. a été un plaisir, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas échangé avec quelqu’un à propos de photographie.
A+
Olrik
Hello,
Le copinage, j’en parlais justement à I.D il y a de cela quelques jours, lorsque je suis tombée sur les éloges que faisaient certains sur une photo somme toute banale voir médiocre. Mais le photographe est « connu » sur le site et très actif donc… Je ne dis pas qu’il mauvais dans son domaine mais comme pour tout le monde les moins bonnes prises existent et pour le coup c’était bien le cas. Donc je comprends tout à fait ton point de vue ! Disons même que les meilleurs instants sont ceux où tu es « nouveau venant », j’ai remarqué que les gens avaient la dent plus dur et étaient beaucoup plus objectifs et constructifs dans leur critique.
Merci pour le lien (et les liens futurs :)), je vais tenter de m’y attarder dès que j’en aurais le temps. Aïe c’est en anglais… mais je ferais l’effort, c’est pour la bonne cause !
Pour l’approche j’ai lu aussi beaucoup de témoignages de photographes dans des ouvrages et sur la toile. Les 2 écoles existent… reste plus qu’à s’essayer pour voir avec laquelle je suis la plus à l’aise. Pour le moment, je n’ai opté que pour des courtes focales. Ayant fais l’acquisition très récemment d’un 50 mm 1.8, faisant un 75 mm sur mon Nikon, je trouve pour le moment la focale très agréable à utiliser.
> On prend juste une photo
Oui au fond il n’y a rien de mal à ça, mais j’ai tout de même l’impression que le rapport qu’on les français à la photo est bien différente des Asiatiques – en Asie. En France, tu as (c’est mon ressenti) une méfiance naturelle et j’avoue que moi-même j’ai ce reflex lorsque je vois un objectif braqué – plus ou moins – sur moi. Je trouve que les asiatiques ont une familiarité avec l’objectif et prennent davantage plaisir à être pris en photo.
Je veux bien croire que le Japon est un terrain de chasse excitant. Tu as capté de bien belles expressions en tout cas. Au fait as-tu une galerie flickr ?
En tout cas bon voyage Stockholm. Je pense qu’il y a de quoi faire de très beaux paysages même si à ce que j’ai cru comprendre ton grand amour reste le portrait !
Je ne suis pas sûr qu’il s’agisse du lien que j’avais en tête, mais il y ressemble :
http://www.vide.memoire.free.fr/photo/textes/street/street.php
Pour le photographe américain à la technique si particulière, il s’agit de Bruce Gilden. Ne commence peut-être pas en faisant comme lui, ou alors avec une barbe postiche et un bob 🙂 :
Pas de galerie sur Flickr, ou alors quand nous aurons des journées de 48H car là, avec deux blogs et tout un tas de loisirs, c’est chaud, même en vacances. En revanche, j’ai toujours ma galerie sur Trekearth (avec le même pseudo). Je l’actualise très peu maintenant. Il y a beaucoup de trucs mauvais, des photos qu’il faudrait remanier voire carrément supprimer mais comme la perfection n’est pas de ce monde, je les laisse, histoire de voir l’évolution de ma pratique et de ne pas chopper la grosse tête.
Pour les paysages, je suis d’une nullité sans nom. Pas du tout mon truc, je ne sais jamais comment m’y prendre. Par contre, les sveltes Suédoises risquent fort de m’inspirer!
Merci pour les liens !
Je me suis empressée de lire le « petit manuel » de la photographie de rue : très intéressant !
Et en passant, j’ai décidé d’opter pour la méthode Gilden dès hier soir, depuis je suis en arrêt maladie pour quelques jours 🙂
C’est un sacré numéro le Gilden ! Chacun sa méthode… Tout de même, les gens sont bien aimables avec le monsieur, parce qu’honnêtement, il a une approche très brutale. J’ai adoré le « non non ne souris pas ! Continue de marcher ! ». Je suis allée voir ces clichés sur le site Magnumphotos et il y a de sacrés belles prises, dont certaines au japon :
http://www.magnumphotos.com/Archive/C.aspx?VP3=ViewBox_VPage&VBID=2K1HZSJU1CNQ&IT=ZoomImage01_VForm&IID=2S5RYDCRMXJ&ALID=2K7O3R148X5I&PN=22&CT=Search
En fait sa méthode est tellement « brutale » que les gens sont complétement incrédules face à elle.
Sinon, Gilden a l’air comme ça d’être un plaisantin mais ses photos montrent qu’il ne l’est pas.
La photo que tu as trouvée vient d’un reportage qu’il avait fait dans le milieu des yakuza. J’imagine qu’il avait l’accord du type en train d’allumer sa cigarette parce que là, ce ne serait plus de la témérité mais de l’inconscience.
Il a l’air… car photographier à main levée sans même mettre l’oeil dans le viseur, il faut le faire… Niveau cadrage, mise au point, bref le bonhomme a une grande maîtrise du terrain c’est certain.
J’espère aussi qu’il a remodelé son approche pour les Yakuza… Tu sais si un ouvrage est sorti sur ce reportage ?
>Par contre, les sveltes Suédoises risquent fort de m’inspirer!
Fait gaffe au mythe des suédoises, tu risques de tomber de très haut 🙂 Par contre en face (Estonie, Lettonie), tu peux y aller comme tu veux ^^
@Diane : aucune idée. Apparemment, aucune trace d’un éventuel bouquin. Mais peut-être qu’il en a fait une expo et qu’un livre en a été tiré. Après, j’imagine le prix…
@Martin : je n’en crois rien, briseur de rêves! Tiens, ce comparatif m’a totalement convaincu :
http://www.jacatu.de/index.php?page=Thread&threadID=7850
Et me dis pas que tu préfères les Anglaises (ou alors tu as besoin dete refaire une cure de Pinku).
> je n’en crois rien
N’en crois pas ce vilain powerpoint! Je prefère d’ailleurs 100 fois une bonne boite de banlieue anglaise qu’un club pete-sec de stockholm (l’anglaise est plutôt grassouillette et un peu vulgaire .. mais très conviviale aussi).
Je prends les paris! (avec un billet-blog démythificateur en jeu). La suédoise est plutôt de taille moyenne avec de gros cuissots (faut dire qu’avec la bouffe qu’ils se tappent .. pas simple de rester mince!), pas mal de personnes qui y ont été se sont fait la même reflexion d’ailleurs ^^ (par contre la Lettonie, ça dépasse l’entendement). Reste qu’ils ont de sacrés paysages, même moi qui m’en contrefout souvent royalement ait été mis sur le cul 🙂
> Je prends les paris! (avec un billet-blog démythificateur en jeu).
Pari tenu mon cher. Les photos que je publierai te feront amèrement regretter de n’avoir fréquenté que le salon de la charcuterie lors de ton voyage en Suède.
🙂
« Pari tenu mon cher. Les photos que je publierai te feront amèrement regretter de n’avoir fréquenté que le salon de la charcuterie lors de ton voyage en Suède. »
Ahahah
On verra bien qui rira le dernier, j’ai entière confiance 🙂 .. On avait même défini une théorie comme quoi les seules belles suedoises avait interdiction de sortir de jour 🙂 Qlq belles plantes ici et là le soir, mais franchement, grosse douche froide pour le coup (et c’est pas faute d’avoir fait des boites & bar!) .. le gros point noir du séjour, avec la bouffe affreuse et les bières hors de prix.
Quand je lis tes mesaventures je me dis : mais au fait il a quel age Martin? 60 ans? 70? Ne serait-il pas alle en Suede juste apres la guerre? Parce que franchement,je viens tout juste de debarquer (suis dans un hotel pres d’Arlanda) et j’ai deja vu un nombre incroyable de sculpturales gambettes. Plus que jamais je suis confiant pour demain.
Je me marre d’avance! 🙂
J’y ai été il y a 2 deux ans Et deux potes ont embrayés l’année suivante, pour une même constatation « assez déçu des suédoises en fait, ça vaut certainement pas l’europe de l’est » 🙂
>nombre incroyable de sculpturales gambette
surement l’effet tourisme estival, ça rameute plein de créatures de l’est 🙂
en parlant de grandes blondes aux yeux bleux, j’ai enfin vu le Bedevilled de Reiko Ike .. grosse purge sans nom .. j’ai quand même fait qlq captures d »écrans pour éviter que d’autres s’infligent aussi ce supplice
Bon sang! J’ai cru ce matin que tu avais raison! Je trainais mes basques a Gamla Stan. Resultat :
– d’horribles ecossais en kilt degageant de fortes odeurs de biere : a foison
– de blondes et fascinantes creatures : pas beaucoup
Heureusement, ca s’est arrange du cote de la City. Mais je dois helas reconnaitre que c etait assez leger.
Remarque j’y pense : c’est peut-etre parce qu’il ya trop de touristes ecossais que les plus beaux petits lots se claquemurent chez elles. Je crois que ca se tient comme idee.
Tant qu’ils sentent pas la Julmust .. tout va bien! 🙂
> – d’horribles ecossais en kilt degageant de fortes odeurs de biere : a foison
Aaaaaaaaah…
Et les écossaises ? Elles sont comment ? 😉
Comme leurs compagnons : horribles!
Mais patience, le temps de trier un tas de photos et je devrais montrer tout cela dans un article la semaine prochaine.
Les écossaises semblent pas mal boiter d’ailleurs (autre théorie de voyage ^^)