Kandagawa Pervert Wars (Kiyoshi Kurosawa – 1983)

  Après les perfections formelles que sont Tokyo Sonata, Shokuzai et Real, forcément, se plonger dans un vieux pinku de Kurosawa, c’est l’assurance de se faire mal aux yeux. Sans être non plus des œuvres de jeunesse (Kurosawa à la trentaine lorsqu’il réalise Kandagawa Pervert Wars et the Excitment of… Lire la suite…

I love it from behind ! (Kôyû Ohara – 1981)

100, c’est le chiffre que Mimei s’est donné d’atteindre durant son séjour à Tokyo avant qu’elle retourne dans sa province pour se marier. Cent quoi ? Ceci :   Oui, une magnifique collection de vits imprimés à l’encre de Chine en souvenir de ses conquêtes masculines. Et, qu’on se le dise, le… Lire la suite…

Stop the Bitch Campaign (Kosuke Suzuki – 2004)

  De tout temps j’ai toujours aimé manger des légumes. Leur saveur, leurs couleurs, leur fort apport nutritif, impossible de m’en passer. C’est bien simple, plutôt que d’être ce que je suis, j’aurais aimé être agriculteur : Mais ce que je dis des légumes est aussi parfaitement valable pour les pinku… Lire la suite…

Tsumugi (Hidekazu Takahara – 2004)

Le film qui va clore notre cycle gentiment obsessionnel sur Sora Aoi s’intitule Tsumugi. Enfin ça, c’est son titre international, car son titre original est Seifuku bishōjo: Sensei atashi wo daite que l’on pourrait traduire par « la beauté en uniforme de lycéenne : professeur, tronchez-moi comme une bête ! ». Comme la confusion… Lire la suite…

Blue Sky comme Sora Aoi

Sora Aoi (« bleu ciel » en japonais, abstraction faite des kanjis de son nom) a joué en 2011 dans un film intitulé… Blue Sky ! Devant tant d’audace et d’originalité, pas d’hésitation pour votre serviteur, il fallait que je vois de mes yeux s’il s’agissait d’un désastre ou une bonne petite surprise… Lire la suite…

Shameless : abnormal and abusive love (Teruo Ishii – 1969)

Voir un film de Teruo Ishii c’est l’assurance d’assister  à un spectacle un minimum barré et original. Ce Shameless : abnormal and abusive love (Ijô seiai kiroku : harenchi) n’échappe pas à la règle avec une histoire simplissime mais traitée d’une manière pop-psychédélique bien de son époque mais aussi à la… Lire la suite…

My Wife’s Shell (Ryuichi Honda – 2005)

  Un sujet classique d’histoire dans les pinku contemporains est le personnage qui a un souci avec un corps  qui ne lui permet pas d’espérer une vie sexuelle et sentimentale au beau fixe. Ryuichi Honda s’inscrit pleinement dans cette thématique puisque les deux films de diptyque érotique présentent des personnages… Lire la suite…

Man, Woman and the Wall (Masashi Yamamoto – 2006)

  Envie de voir un pinku récent fait avec trois francs six sous mais qui vous donnera l’impression à la fin de ne pas avoir perdu votre temps ?  N’allez pas plus loin, Man, Woman and the Wall (titre international plus pertinent que Kikareta Onna, « la femme écoutée ») est fait pour… Lire la suite…