Pleasure at Hot Spring (Atsushi Fujiura – 1981)

Le petit monde travaillant dans un paisible onsen est en émoi : une rumeur selon laquelle un trésor serait caché non loin lui vaut d’être submergé par un flot de badauds intéressés par l’idée d’être millionnaire. Au programme de leurs journées deux types de chasses au trésor : les pièces d’or le… Lire la suite…

Horny Diver : Tight Shellfish (Atsushi Fujiura – 1985)

Zetsurin ama : shimarai gai Moi, dans ces périodes de fortes chaleur, je dégaine tout de suite ma piscine gonflable dans le jardin ainsi que ma machine à kakigori de compétition : Des machines Gari Gari Kun, doit pas y en avoir des masses en France. Que voulez-vous, on a la classe… Lire la suite…

Nurse’s Confession (Komie – 2009)

Et l’on reprend aujourd’hui un film de genre particulier, le « film de Sora Aoi ». On croit les avoir tous vus quand tout à coup d’autres apparaissent comme par magie. Comment les refuser sachant que Bulles de Japon a pour projet parmi ses multiples but de dresser un panorama de l’intégralité… Lire la suite…

Wet Hot Sake (Yoichi Noshiyama – 1996)

Après la neige et le froid, autre thème de circonstance : l’alcool. A J-1 du réveillon, vous pensez êtes fin prêt : un moelleux délicat pour le foie gras, un sec distingué pour les huîtres, un rouge légèrement boisé pour le chapon et un champagne à se damner pour le dessert. Tout… Lire la suite…

Sweet Whip (Takashi Ishii – 2013)

Takashi Ishii ou un petit dernier pour la route. Point d’alcool ici, je veux bien sûr parler d’un pinku avant d’aller œuvrer du côté des yakuza eiga (avec une suite à l’excellent Gonin). On ne va pas s’en plaindre, surtout lorsqu’on est assuré d’avoir dans le rôle principal la sculpturale… Lire la suite…

Kandagawa Pervert Wars (Kiyoshi Kurosawa – 1983)

  Après les perfections formelles que sont Tokyo Sonata, Shokuzai et Real, forcément, se plonger dans un vieux pinku de Kurosawa, c’est l’assurance de se faire mal aux yeux. Sans être non plus des œuvres de jeunesse (Kurosawa à la trentaine lorsqu’il réalise Kandagawa Pervert Wars et the Excitment of… Lire la suite…

I love it from behind ! (Kôyû Ohara – 1981)

100, c’est le chiffre que Mimei s’est donné d’atteindre durant son séjour à Tokyo avant qu’elle retourne dans sa province pour se marier. Cent quoi ? Ceci :   Oui, une magnifique collection de vits imprimés à l’encre de Chine en souvenir de ses conquêtes masculines. Et, qu’on se le dise, le… Lire la suite…