I love it from behind ! (Kôyû Ohara – 1981)

100, c’est le chiffre que Mimei s’est donné d’atteindre durant son séjour à Tokyo avant qu’elle retourne dans sa province pour se marier. Cent quoi ? Ceci :   Oui, une magnifique collection de vits imprimés à l’encre de Chine en souvenir de ses conquêtes masculines. Et, qu’on se le dise, le… Lire la suite…

Melodies of a White Night (Sergey Solovev et Kiyoshi Nishimura – 1978)

  Ilya, un compositeur russe, se rend à Kyoto pour y effectuer l’enregistrement d’une de ses œuvres pour laquelle la pianiste sera Yuko, Japonaise russophile avait qui il avait connu une histoire d’amour un an auparavant à Leningrad. L’eau ayant coulé sous les ponts entretemps, et surtout le choc des… Lire la suite…

Daimajin (Kimiyoshi Yasuda – 1966)

  Dans la famille des kaiju eiga qui ne font pas mal aux yeux, je demande le grand, le magnifique, l’indestructible Daimajin. Et par la même occasion le trio de réalisateurs (Kimiyoshi Yasuda, Kazuo Mori et Kenji Misumi) qui, en 1966, réalisèrent d’un coup les trois opus qui sortirent l’année… Lire la suite…

Stop the Bitch Campaign (Kosuke Suzuki – 2004)

  De tout temps j’ai toujours aimé manger des légumes. Leur saveur, leurs couleurs, leur fort apport nutritif, impossible de m’en passer. C’est bien simple, plutôt que d’être ce que je suis, j’aurais aimé être agriculteur : Mais ce que je dis des légumes est aussi parfaitement valable pour les pinku… Lire la suite…

Real (Kiyoshi Kurosawa – 2013)

  Atsumi, dessinatrice de manga d’horreur, est dans le coma après une tentative de suicide. Son petit ami (un ami d’enfance), Koichi, se porte alors volontaire à un programme scientifique permettant de pénétrer dans le subconscient d’Atsumi pour comprendre la cause de son geste et trouver le moyen de la… Lire la suite…

Tsumugi (Hidekazu Takahara – 2004)

Le film qui va clore notre cycle gentiment obsessionnel sur Sora Aoi s’intitule Tsumugi. Enfin ça, c’est son titre international, car son titre original est Seifuku bishōjo: Sensei atashi wo daite que l’on pourrait traduire par « la beauté en uniforme de lycéenne : professeur, tronchez-moi comme une bête ! ». Comme la confusion… Lire la suite…

Why don’t you play in Hell ? (Sion Sono – 2013)

  Hirata est un jeune homme dingue de cinéma qui n’a qu’un seul désir : réaliser ce qui sera un jour un incontestable chef d’œuvre du septième art. Après des années de galère durant lesquelles il réalise avec un bon petit contentement de soi des œuvrettes sans intérêt, il se voit… Lire la suite…

Blue Sky comme Sora Aoi

Sora Aoi (« bleu ciel » en japonais, abstraction faite des kanjis de son nom) a joué en 2011 dans un film intitulé… Blue Sky ! Devant tant d’audace et d’originalité, pas d’hésitation pour votre serviteur, il fallait que je vois de mes yeux s’il s’agissait d’un désastre ou une bonne petite surprise… Lire la suite…

Maîtres de demain ? #8 Shing Shing Shing (Kohei Sanada – 2011)

  La famille Tekiya est une famille atypique car constituée de personnes sans liens familiaux entre elles et organisée autour d’un vieil homme. Un jour ils découvrent que leur maison a été détruite en leur absence. Ils vont parcourir les routes, aller de matsuri en matsuri pour essayer de gagner… Lire la suite…

Maîtres de demain ? #7 More (Takehiro Ito – 2011)

Toujours frustrant de visionner ces films de fin d’études à l’université des Beaux Arts de Tokyo, section cinéma et nouveaux médias. Le résultat est toujours très correct, parfois très original, indiquant une réelle personnalité derrière la caméra. On se dit souvent qu’il va être intéressant de suivre la carrière de… Lire la suite…