Kabukicho Love Hotel (Ryuichi Hiroki – 2014)

Short Cuts dans un love hotel de kabukicho. Toru fait croire à sa petite amie qu’il travaille à la réception d’un prestigieux hotel à Shinjuku. En réalité il tient un love hotel miteux de Kabukicho. De son côté, la petite amie en question (Saya) ne fait pas mieux : musicienne, elle… Lire la suite…

The Egoists (Ryuichi Hiroki – 2011)

  Keibetsu / The Egoists Kazu, petite frappe travaillant pour un yakuza à Kabukicho, doit se rendre à un club de strip tease pour y faire une opération de représailles. Le souci est qu’y travaille Machiko comme danseuse, jeune fille laquelle il en pince depuis pas mal de temps. Il… Lire la suite…

Grains de sable (Ryosuke Hashiguchi – 1995)

Amours et secrets lycéens : Ito, jeune homme préférant les garçons, en pince pour son ami Yoshida qui aime quant à lui Aihara, jeune fille un brin excentrique dont l’humeur étrange est sans doute à lier à un terrible secret (elle a été violée). Les films présentant des amours lycéennes ont… Lire la suite…

Kani Goalkeeper (Minoru Kawasaki – 2006)

Vous n’avez jamais aimé le foot ? Vous conchiez les supporters abrutis qui sévissent dans les stades à coups d’éructations racistes et d’insondables vulgarités ? Vous vomissez ces joueurs qui gagnent des sommes indécentes rien qu’en tapant dans une baballe ? Voir le vieux barbon  Blatter 1er se faire réélire une cinquième fois… Lire la suite…

My Man (Kazuyoshi Kumakiri – 2014)

Hana, petite fille de 10 ans devenue orpheline après un tsunami, est recueillie par Jungo, un homme de 26 ans ayant un lien de parenté avec elle (lien en vérité assez éloigné). Alors qu’elle grandit, une relation trouble s’installe entre les deux, jusqu’à ce qu’ils deviennent purement et simplement deux… Lire la suite…

Hole in the Sky (Kazuyoshi Kumakiri – 2001)

Etonnamment, ce Hole in the sky n’a pas eu les honneurs des écrans français au début des années 2000. Etonnamment car les distributeurs continuaient sur leur lancée de la fin des 90’s avec les diffusions d’un certain type de cinéma d’auteur japonais. Avec Kitano notamment, dont l’un des acteurs fétiches,… Lire la suite…

Love’s Whirlpool (Daisuke Miura – 2014)

Trois hommes et trois femmes qui ne se connaissent pas, se retrouvent dans un appartement de Roppongi (participation de 20000 yens pour les hommes, seulement 1000 pour les femmes) afin de … baiser de minuit à cinq heures du matin. Enfin, baiser, pour un participant il sera aussi question de… Lire la suite…

Okaeri (Makoto Shinozaki – 1995)

Comme tous les vendredis soirs, passage obligé pour bibi dans une obscure ruelle de la Golden Gai pour y rencontrer mon pourvoyeur préféré en vieilles pelloches. VHS, VCD, DVD, laserdiscs, betamax ou carrément bobines 15mm, tout est bon pour satisfaire ma soif inextinguible de curiosités et comme l’homme a des… Lire la suite…

the Kingdom of Dreams and Madness (Mami Sunada – 2013)

Le documentaire nous était présenté comme le documentaire ultime sur le studio Ghibli et c’est sûr que l’affiche où l’on voit Suzuki flanqué de Takahata et de Miyazaki était des plus alléchantes. Depuis le temps qu’on entendait parler d’une légende d’un Miyazaki tyrannique, on espérait bien enfin avoir accès à… Lire la suite…

Tokyo Tribe (Sion Sono – 2014)

Il y a peu encore je frétillais d’impatience à l’idée de voir un nouveau Sono. Cela a bien changé depuis tant la désagréable impression que le gus se lovait dans un système utilisant la recette miraculeuse de Love Exposure ad nauseam. Etrange paradoxe d’un réalisateur ayant commencé avec le collectif… Lire la suite…