Urotsukidoji (Hideki Takayama – 1987)

Amano, un être mi-homme, mi-bête, est envoyé sur terre pour retrouver la nouvelle incarnation du Chojin, dieu démoniaque extrêmement puissant. Contre toute attente, Amano découvre qu’il est entré dans le corps de Tatsuo, un lycéen pervers et voyeur qui en pince méchamment pour une de ses camarades de classe, Akemi.… Lire la suite…

Belladonna (Eiichi Yamamoto – 1973)

Vu il y a longtemps sans enthousiasme du fait d’une copie de mauvaise qualité diffusée sur un petit écran d’ordinateur, la Belladone de la Tristesse (aujourd’hui simplement Belladonna) faisait partie de ces titres que je me promettais bien de revoir dès que de nouvelles versions numériques allaient être commercialisées. A… Lire la suite…

Roujin Z (Hiroyuki Kitakubo – 1991)

Eternel problème au Japon : face à une population vieillissante, comment faire pour s’occuper de tous ces petits vieux dépendants ? Comme de bien entendu, c’est vers la robotique que l’on se tourne avec le « Z-001 », machine en forme de lit capable de s’occuper de tous les besoins du patient (manger, chier,… Lire la suite…

Hikaru no go ou le plaisir de ne pas comprendre

Rares sont les séries de plus de cinquante épisodes qui peuvent se targuer de m’avoir donné envie de les visionner une deuxième fois. Encore plus quand il s’agit d’un Shonen, genre pourvoyeur d’un plaisir certain mais suivant des sentiers archi rebattus et faisant bien souvent la part trop belle à… Lire la suite…

la Cité interdite (Yoshiaki Kawajiri – 1987)

La fin des années 80 fleurait bon les œuvres d’animation coups de poing pour les happy few qui s’intéressaient à ce qui se faisait au Japon dans le domaine. Akira bien sûr, mais aussi Urotsukidoji et les œuvres de Yoshiaki Kawajiri, un des fondateurs du studio Madhouse mais surtout réalisateur œuvrant… Lire la suite…

Berserk Golden Age Arc III : Descent (Toshiyuki Kubooka – 2013)

  Moi, à la base, la fantasy m’emmerde. Tous ces elfs, ces orcs, ces nains, ces magiciens à chapeau pointu, très peu pour moi. Après, quand on ajoute l’adjectif « heroic » devant, ça change un peu la donne même si ce n’est pas encore l’extase. Mais j’avoue, ces héros musculeux, bien… Lire la suite…