Aya Matsuura sous lumière bleue

Shûichi, lycéen de 17 ans, mène une vie sans histoire, que ce soit à son lycée ou chez lui en compagnie de sa mère et de sa belle-soeur. Mais voilà, un jour son beau-père, qu’ils croyaient parti pour toujours, revient et le quotidien est subitement rythmé par une spirale d’alcoolisme… Lire la suite…

Mika Madoka’s baby

Encore un film de Kumashiro sur la dure vie d’une strip-teaseuse. Et finalement encore un roman porno accrocheur, même si ce titre peut paraître un cran au-dessous de films ultérieurs. On y suit le dilemme de Kimiyo, strip-teaseuse qui, comme l’indique le titre original, fait sur scène des choses magiques… Lire la suite…

Un gourou coaché par Kitano

Difficile d’imaginer ce qui a pu passer dans la tête du concepteur de l’affiche de Many Happy returns. Avec le visage d’un Kitano éclatant de rire on va se dire que l’on va avoir droit à une bonne comédie, mais en fait pas tant que ça, jugez plutôt : Un… Lire la suite…

Angoulême 2020 : 20/20

Achevée le week-end dernier, la 47ème édition du FIBD m’a laissé retrouver mes pénates dimanche soir totalement éreinté. Ereinté mais satisfait aussi avec le net sentiment d’en avoir bien profité puisque j’y ai cette fois-ci traîné mes basques non pas une journée comme c’était l’habitude mais trois (jeudi, samedi et… Lire la suite…

Petits fours, lettres mystérieuses et arsenic

Noriko, la fille d’un banquier, a autrefois connu un grand malheur personnel. Alors qu’elle devait se marier avec Fujimura, un employé de la banque de son père, le jeune homme est parti la veille du mariage sans donner d’informations. Dévastée, Noriko est restée cloîtrée dans sa chambre durant trois ans.… Lire la suite…

Quand Kitano pleure à s’en tenir les côtes

Hiroshi Igarashi (Beat Takeshi) est un « talento » comique à succès sévissant à la TV japonaise. Sa femme l’a quitté pour l’Australie parce qu’elle trouvait qu’elle n’avait pas sa place dans cette vie entièrement tournée vers une vie médiatique frénétique. Hiroshi vit donc seul en compagnie de son fils, Ken, une… Lire la suite…

Une belle-fille aux dents aiguisées

Afin de bien commencer la lecture du premier article pinku de l’année, je vous propose de le lire tout en écoutant cette chanson : Pas de choix plus approprié en effet puisque Yôko Hatanaka est une de ces idoles qui ont succombé à un moment de leur carrière aux sirènes du… Lire la suite…

Les joies du joya no kane comme si vous y étiez

J’ai évoqué la dernière fois la fabuleuse prestation de Kitano lors de la grande messe cathodique de l’Ōmisoka (le réveillon de fin d’année) qu’est le Kouhaku. Eh bien il faut savoir qu’il ne s’agit pas de l’ultime grande messe puisqu’il en est juste après une autre, et qui se payer en… Lire la suite…

Les joies du bini-bon avec Junko Mabuki

Toujours dans l’optique de poursuivre les sentiers explorés par The Naked Director, après Dynamite Graffiti, on enchaîne avec Zoom Up : the Beaver book girl, roman porno de 1981 : Zûmu appu: Binîru-bon no onna ズームアップ ビニール本ほんの女  (soit Zoom sur la fille de revues olé olé !) Le « bini bon », ceux… Lire la suite…

Les joies du tribadisme en sailor fuku

Rude soirée cinéma hier pour votre serviteur : en première partie de soirée, la brutalité avec Rambo : Last Blood (j’avoue faire partie de ceux qui ont kiffé le spectacle) et en deuxième la douceur avec un roman porno de 1983 : セーラー服 百合族 / Sêrâ-fuku: Yurizoku (proposition de titre : les goungnotteuses du lycée)… Lire la suite…

Ce magazine porno, c’est de la dynamite

Si vous avez vu et apprécié sur Netflix le récent Naked Director et que vous avez hâte d’être déjà à la saison 2 annoncée pour 2020, peut-être aurez-vous intérêt à vous plonger dans ce Dynamite Graffiti à peu près sur la même thématique, à savoir la difficulté de diffuser de… Lire la suite…