Bijin de la semaine (56) : Kyoko Otonashi

Revoir Maison Ikkoku en VO lorsqu’on l’a découvert adolescent sous le titre insipide de « Juliette je t’aime » et avec l’atroce générique de Bernard Minet (nulle affection pour ce machin, certains l’ont, moi pas), c’est la promesse d’une authentique redécouverte avec pour fil conducteur ce mot, « seinen »,… Lire la suite…