Stop the Bitch Campaign (Kosuke Suzuki – 2004)

  De tout temps j’ai toujours aimé manger des légumes. Leur saveur, leurs couleurs, leur fort apport nutritif, impossible de m’en passer. C’est bien simple, plutôt que d’être ce que je suis, j’aurais aimé être agriculteur : Mais ce que je dis des légumes est aussi parfaitement valable pour les pinku… Lire la suite…

Tsumugi (Hidekazu Takahara – 2004)

Le film qui va clore notre cycle gentiment obsessionnel sur Sora Aoi s’intitule Tsumugi. Enfin ça, c’est son titre international, car son titre original est Seifuku bishōjo: Sensei atashi wo daite que l’on pourrait traduire par « la beauté en uniforme de lycéenne : professeur, tronchez-moi comme une bête ! ». Comme la confusion… Lire la suite…

Blue Sky comme Sora Aoi

Sora Aoi (« bleu ciel » en japonais, abstraction faite des kanjis de son nom) a joué en 2011 dans un film intitulé… Blue Sky ! Devant tant d’audace et d’originalité, pas d’hésitation pour votre serviteur, il fallait que je vois de mes yeux s’il s’agissait d’un désastre ou une bonne petite surprise… Lire la suite…

Shameless : abnormal and abusive love (Teruo Ishii – 1969)

Voir un film de Teruo Ishii c’est l’assurance d’assister  à un spectacle un minimum barré et original. Ce Shameless : abnormal and abusive love (Ijô seiai kiroku : harenchi) n’échappe pas à la règle avec une histoire simplissime mais traitée d’une manière pop-psychédélique bien de son époque mais aussi à la… Lire la suite…

My Wife’s Shell (Ryuichi Honda – 2005)

  Un sujet classique d’histoire dans les pinku contemporains est le personnage qui a un souci avec un corps  qui ne lui permet pas d’espérer une vie sexuelle et sentimentale au beau fixe. Ryuichi Honda s’inscrit pleinement dans cette thématique puisque les deux films de diptyque érotique présentent des personnages… Lire la suite…

Man, Woman and the Wall (Masashi Yamamoto – 2006)

  Envie de voir un pinku récent fait avec trois francs six sous mais qui vous donnera l’impression à la fin de ne pas avoir perdu votre temps ?  N’allez pas plus loin, Man, Woman and the Wall (titre international plus pertinent que Kikareta Onna, « la femme écoutée ») est fait pour… Lire la suite…

Bijin de la semaine (35) : Hiroko Matsumoto

Dans ma série des bijins de la semaine, Hiroko Matsumoto n’aura certes pas la palme de la bijin la plus pulpeuse. Par contre, en terme de classe et d’élégance vestimentaire, elle se pose là. Après, difficile d’en être autrement puisque jeune mannequin à Tokyo durant la fin des 50’s, elle… Lire la suite…

Pleasure Masturbation : New Wife Version, d’Hisayasu Satô (1993)

Ne vous moquez pas. Ces dames respectables sont les membres du SJTMFC (Seniors Japanisthan Trash Movies Fan Club). Ayant apprécié mes deux précédents articles sur Hisayasu Satô, ces vieilles vicelardes m’ont envoyé pour Noël une grosse boîte de toffees à la liqueur (curieuse la liqueur d’ailleurs) en me priant d’en… Lire la suite…