Beautiful Sunday (Tetsuya Nakashima – 1998)

  Un an après Happy go Lucky, Nakashima sort Beautiful Sunday. Que l’on ne s’y trompe pas : si les deux films ont pour points communs de faire la petite chronique du quotidien de plusieurs personnages et de posséder Ittoku Kishibe dans leur casting, là s’arrête la comparaison car l’on… Lire la suite…

Natsu jikan no otonatachi (Tetsuya Nakashima – 1997)

Dans la filmographie de Nakashima, il y a deux extrêmes, l’une boursoufflée, épileptique, hideuse, irregardable (Kamikaze Girls), l’autre calme, épurée, contemplative, sans prétention. Natsu Jikan no Otonatachi représente cette dernière. Et, même si je reconnais avoir apprécié l’ultra-stylisé Confessions (mais bien moins flashy et hystérique que Kamikaze Girls, il est… Lire la suite…

Maître de demain ? #6 Sheep in the Night (Paul Young – 2010)

Je reprends cette série sur les films universitaires de fin d’études avec aujourd’hui un petit film fantastique de Paul Young. Non, aucun rapport avec le comparse de Zucchero, ce Paul Young-là est un jeune cinéaste tout frais émoulu de la Graduate School of Film and New Media de Yokohama. A… Lire la suite…

Flowers (Norihiro Koizumi – 2010)

A priori ce film n’avait rien pour m’emballer avec son projet de dresser le portrait de six femmes de plusieurs générations et appartenant à une même famille. Un peu trop douceureux, un peu trop clinquant, ça sentait le déballage de stars ostentatoire et sans contenu. L’idée de retrouver le charmant visage de… Lire la suite…

Maîtres de demain ? #5 Midorigawa no soko (Yoshii Kazuyuki – 2007)

Cela faisait pas mal de temps que je n’avais pas pondu une critique sur ces films de fin d’études de l’université des Beaux-Arts de Tokyo. C’était pourtant pas faute d’avoir essayé mais voilà, les films vus n’étaient guère enthousiasmants, du genre un peu bouffis de prétention et soporifiques en diable.… Lire la suite…