Cet homme crie sûrement de rage mais très certainement aussi de douleur. Soyez sûrs qu’il n’est pas exagéré de dire que ce n’est pas du chiqué et qu’il est à l’agonie. Simplement parce que le char qu’il transporte est horriblement lourd, que la photo a été prise à la toute fin d’une longue procession dans la ville, tout cela en plein été (un été japonais, qui plus est, pour ceux qui ont connu l’experience).
Ainsi sont ces processions : joyeuses mais aussi, quelquefois, avec un zest de souffrance. Cece n’est sans doute pas ans les rendre encore plus belles.
Les Callaïdes
La Binocleuse zélée (15) : Coquetterie en devenir nichée dans les oreilles
La Binocleuse zélée (14) : L’estrange pouvoir de la modiste aux cent mains
La Binocleuse zélée (13) : Extase de la belle vêture
La Binocleuse zélée (12) : Du pouvoir d’une enseigne légère dans un esprit lettré
La Binocleuse zélée (11) : Polyphonie flatteuse d’une meute de renards
La Binocleuse zélée (10) : Faire bonne impression devant un rugueux imprimeur
-
Confidentialité et cookies : ce site utilise des cookies. En continuant à naviguer sur ce site, vous acceptez que nous en utilisions.
Pour en savoir plus, y compris sur la façon de contrôler les cookies, reportez-vous à ce qui suit : Politique relative aux cookies