Bitume, acier, câbles et chair, le quarté gagnant de toute déambulation urbaine au Japon. A tous les coups on gagne, surtout en été. Vivement juillet tiens !
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Le vélo est parfois un objet profondément érotique. Et je ne dis pas ça à cause du Tour de France. Du tout.
(mais pourquoi quand je rend mon vélib je tombe jamais sur une comme ça moi…)
(mais pourquoi quand je rend mon vélib je tombe jamais sur une comme ça moi…)
Va au Japon (si ce n’est déjà fait) ! Et surtout l’été ! Contre tous les grincheux qui prétendent que le Japon est à fuir l’été, moi je dis que c’est justement LA saison à ne pas rater. Le potentiel bijinesque des Japonaises y est décuplé et les vélos y sont alors plus sexy que jamais. C’est bien simple, si j’avais la possibilité de choisir ma réincarnation, j’opterais sans hésiter pour une selle de bicloune japonais ! Quelques exemples absolument incontestables :




J’y suis allé, il y a quelques années maintenant (gasp, ça file…), c’était justement l’été. Me souviens de la chape de plomb qui nous tombait dessus dès la sortie de l’hôtel, d’avoir été saucé par une pluie torrentielle aux alentours du parc d’Ueno et de m’être refugié un autre jour dans un 7/11 en face d’un kôban à Akasaka (je cherchais, et j’avais trouvé, le bâtiment d’Office Kitano). Mais je n’ai jamais vraiment souffert de la chaleur bizarrement. Bon, en ce qui concerne la gent féminine, j’avais ma bijin personelle à mes côté, mais celà ne m’a pas empêché de profiter du spectacle de la rue (elle non plus d’ailleurs).
Au risque d’être taxé de sentimental, c’est la deuxième que je préfère. Le côté Perrette et le petit pot de beurre sans doute…
Perso, j’assimile tellement la chaleur au fait d’être là, dans ce pays que j’adore, qu’elle en vient presque à faire partie de ce plaisir ressenti. Et c’est pourtant quelqu’un qui n’apprécie pas plus que cela la chaleur qui l’écrit.