Creepy (Kiyoshi Kurosawa – 2016)

Takakura, un ancien policier devenu professeur à l’université, se voit replongé dans son passé lorsqu’un ex- collègue lui demande de l’aider dans une affaire non résolue d’une famille ayant disparu dans la nature. Pendant qu’il mène gentiment l’enquête durant son temps libre, sa femme, seule à la maison, s’ennuie, et… Lire la suite…

Beautiful New Bay Area Project (Kiyoshi Kurosawa – 2013)

Takako Tanigawa est ouvrière sur un chantier à Odaiba et mène une vie sans histoire jusqu’au jour où un jeune homme tombe éperdument amoureux d’elle. Problème : il ne s’agit rien moins que d’un fils à papa richissime à l’origine d’un projet architectural pharaonique, le « Beautiful New Bay Area Project». Pas du… Lire la suite…

Seventh Code (Kiyoshi Kurosawa – 2013)

Une jeune Japonaise, Akiko, a du mal à oublier un bel homme qu’elle a rencontré lors d’une soirée à Ropongi. Pour y remédier, elle décide rien moins que d’aller le retrouver à Vladivostok ! Sur place elle le retrouve mais ce dernier lui fait rapidement comprendre qu’il ne faut pas être… Lire la suite…

House of Bugs (Kiyoshi Kurosawa – 2005)

Avant Shokuzai, Kurosawa avait déjà fait plusieurs incursions dans le monde du drama. Ainsi ce Kazuo Umezu’s Horror Theater tout à la gloire du maître du manga d’horreur : Le résultat sachant que Kurosawa est un fan de l’œuvre du maître ? Ce House of bugs parfaitement maîtrisé, un petit joyau de… Lire la suite…

The Excitement of the DO RE MI FA Girl (Kiyoshi Kurosawa – 1985)

The Excitement of the DO RE MI FA Girl, film le plus WTF?! de Kiyoshi Kurosawa ? A n’en pas douter. Si le réalisateur partait pourtant sur une bonne base avec le foutraque Kandagawa Pervert Wars, sachez que cela n’est rien en comparaison de son deuxième opus, lui aussi réalisé… Lire la suite…

Kandagawa Pervert Wars (Kiyoshi Kurosawa – 1983)

  Après les perfections formelles que sont Tokyo Sonata, Shokuzai et Real, forcément, se plonger dans un vieux pinku de Kurosawa, c’est l’assurance de se faire mal aux yeux. Sans être non plus des œuvres de jeunesse (Kurosawa à la trentaine lorsqu’il réalise Kandagawa Pervert Wars et the Excitment of… Lire la suite…

License to live (Kiyoshi Kurosawa – 1998)

Le dernier plan de Real montrait le personnage principal, Koichi, levant lentement les paupières, sortant ainsi d’un long séjour à l’hôpital dans le coma. On pouvait y voir une fin positive si on n’allait pas plus loin que la simple histoire d’amour avec deux amants pouvant enfin se retrouver (et… Lire la suite…

Real (Kiyoshi Kurosawa – 2013)

  Atsumi, dessinatrice de manga d’horreur, est dans le coma après une tentative de suicide. Son petit ami (un ami d’enfance), Koichi, se porte alors volontaire à un programme scientifique permettant de pénétrer dans le subconscient d’Atsumi pour comprendre la cause de son geste et trouver le moyen de la… Lire la suite…

Du Japon en intraveineuse sur France Cul

Qu’on se le dise, le W-E dernier France Cul a franchement déchiré sa race puisque, en rapport avec le festival du cinéma asiatique de Deauville (avec une grosse actu japonaise) mais surtout la commémoration de Fukushima deux ans après, la station a consacré rien moins que 20 émissions au Japon… Lire la suite…

Cure (Kiyoshi Kurosawa – 1997)

  Voir Cure en cette fin des 90’s constituait une expérience pour le moins atypique. Jusqu’à présent, l’expression « thriller psychologique » renvoyait plutôt à des productions d’outre-Atlantique. Sans passer à la loupe tous les films américains de cette décennie, citons juste deux titres, deux chefs d’œuvre comprenant chacun un serial killer… Lire la suite…