Violent Panic : the Big Crash (Kinji Fukasaku – 1976)

Comment diable a pu se passer l’entretien durant lequel Fukasaku a convaincu son producteur de lui donner des sous pour financer Violent Panic : the Big Crash ? Perso, j’imagine quelque chose comme cela : ……………………………………………………………… – Bon alors voilà : pour le prochain, voici ce que j’ai décidé, on va faire un film qui… Lire la suite…

Daimajin (Kimiyoshi Yasuda – 1966)

  Dans la famille des kaiju eiga qui ne font pas mal aux yeux, je demande le grand, le magnifique, l’indestructible Daimajin. Et par la même occasion le trio de réalisateurs (Kimiyoshi Yasuda, Kazuo Mori et Kenji Misumi) qui, en 1966, réalisèrent d’un coup les trois opus qui sortirent l’année… Lire la suite…

Blue Sky comme Sora Aoi

Sora Aoi (« bleu ciel » en japonais, abstraction faite des kanjis de son nom) a joué en 2011 dans un film intitulé… Blue Sky ! Devant tant d’audace et d’originalité, pas d’hésitation pour votre serviteur, il fallait que je vois de mes yeux s’il s’agissait d’un désastre ou une bonne petite surprise… Lire la suite…

The Executioner (Teruo Ishii – 1974)

Dans mon esprit, Teruo Ishii est un peu un frère de Norifumi Suzuki : un faiseur de divertissements qui à peu près à la même époque a arrosé le cinéma japonais d’une pléthore de films de série B. Pas toujours avouables, parfois frôlant le nanar mais la plupart du temps efficaces… Lire la suite…

Uchû Keiji Gavan : the Movie (Osamu Kaneda – 2012)

Que les fans de Tokusatsu en profite car ça n’arrivera pas tous les jours. Oui, aujourd’hui sur BdJ honneur à un metal hero. Mais attention, pas n’importe lequel puisqu’il s’agit de… oui, de X-Or ou plutôt de… https://www.youtube.com/watch?v=dkqEMjTigq8 Gavan (nom hommage venant à l’origine de Jean Gabin, connu entre autres… Lire la suite…

Torakku Yarô : Goiken Muyô (Norifumi Suzuki – 1975)

  Pas très fan de la série des Tora san ? Vous avez pourtant essayé, vous vous êtes enquillé, empli de bonne volonté, quelques opus de la plus longue série de films du cinéma nippon mais non, rien à faire, vous n’avez pas accroché. Trop propret, trop gentillet, trop lent, trop… Lire la suite…

OSS 117 : Atout Cœur à Tokyo (Michel Boisrond – 1966)

Sérieusement, entre nous, un espion qui s’appelle Hubert Bonisseur de la Bath peut-il être plus cool qu’un mec qui s’appelle James Bond ? Difficilement vous avouerez, hein ! Et pourtant, malgré le lourd handicap de son blaze, cet OSS 117 a su m’amuser le temps de cet Atout cœur à Tokyo produit… Lire la suite…

(The DC Archives) Poignée dans le coin et foutre dans le turbo

Dans cet article paru le 14 octobre 2010, les amateurs de belles mécaniques, qu’elles soient de métal ou de chair, allaient trouver leur bonheur dans cette petite perle méconnue qu’est Wild Sex Gang de Takayuki Miyagawa (1973). Pas non plus un chef d’oeuvre mais si je vous dis que Miki… Lire la suite…

Moto et Shamisen (Masahiro Shinoda – 1961)

Hasard des visionnages : vu quelques semaines après la Forêt Pétrifiée, difficile de ne pas voir dans ce Shamisen to Otobai son pendant lumineux. Là où la Forêt Pétrifiée mettait en scène des êtres sclérosés perdus dans le présent de leur forêt urbaine, Moto et Shamisen nous propose des êtres touchants… Lire la suite…