
Après, voilà : les actrices sont calamiteuses. On suppose que nombre d'entre elles sont de petites idoles chéries faites pour susciter l'attention d'otaks intoxiqués de machins genre AKB48. Elles ont décroché un rôle dans un drama estampillé Netflix, on est bien aise pour elles. Mais on morfle quand même un chouïa devant ce jeu hyper stéréotypé et trop souvent artificiel et ridicule, tuant tout effet de suspense. Pour le spectateur, il s'agissait de se dire à chaque épisode qui va être "supprimé" et comment ? Mais là, devant ce jeu hystérique aggravé par des effets systématiques pour faire sursauter ce petit monde (c'est pour l'instant du "un gros bruit", "je sursaute", "un gros bruit", "j'ouvre de grands yeux et je crie", etc.) on en vient à se désintéresser du pourquoi du comment. J'en suis au quatrième épisode et franchement, la souffrance est telle devant cette collection de pisseuses têtes à claques que je suis pas loin de tout arrêter.

Des envies de meurtre à chaque scène.