en attendant le printemps...
Publié : 09 mars 2021 18:20
Konnichiwa les scopiens!
Je partage, en espérant ne pas créer de doublons, une partie de mes lectures en cours pour patienter jusqu'au printemps...
En démarrant avec La Fête des Ombres, chez Issekinicho, le premier volet d'un dyptique réalisé par Atelier Sentô (Cécile Brun et Olivier Pichard).
C'est mon coup de coeur, comme chaque album de l'Atelier en fait ! (Je vous recommande, du même duo, Onibi, une BD qui fleure bon les yokais, la campagne japonaise, la nostalgie du nato et des jihanki ) Olrik, je pense que je publierai plus tard un post à part sur Atelier Sentô, mais je te les recommande très chaleureusement pour toute ta tribu
J'enchaîne avec Fenêtres sur le Japon, d'Eric Faye, chez l'incontournable Picquier. Reçu ce jour et déjà entamé. Suffisamment que pour le classer dans les dispensables... N'empêche, un recueil de textes évoquant Kurosawa (Akira et Kiyoshi!), Kore-Eda, Kobayashi et Mishima sous une même couverture, ça me parle. Rien de bien neuf, mais une belle approche pour constituer une biblio-médiathèque japonaise de qualité à destination des "débutants"
Fantastique Edo de l'illustrateur Susumu Zenyoji... Un magnifique petit guide illustré qui a trouvé (et touché!) son public, ici à la maison. Le tout donne un peu l'impression d'une production muséale. Très pédagogique dans ses visuels et des textes courts pour cerner l'essentiel.
C'est au Lézard Noir, on crache donc 18€, ce qui correspond à un volume de la Cantine de Minuit, ouch...
Et enfin, le numéro 16 d'Atom, consacré à Tokyo, avec une très belle illustration de couverture, oeuvre de Minetaro Mochizuki (Quelqu'un pour partager un avis sur son adaptation du roman de Yamamoto, Chiisakobe? )
(sinon, je termine aussi "Meurtre à Tokyo" du britannique Guy Stanley. Un polar urbain de la fin des années 80, avec comme personnage central, un journaliste-enquêteur, limite hard-boiled, qui flaire un gros requin dans l'ombre d'un petit malfrat retrouvé mort sur les bords de la Tama. Le démarrage de l'intrigue est plaisant, même si cela s'essouffle un peu en cours de lecture. Pour les amoureux (dont je fais partie) de Tokyo).
Je partage, en espérant ne pas créer de doublons, une partie de mes lectures en cours pour patienter jusqu'au printemps...
En démarrant avec La Fête des Ombres, chez Issekinicho, le premier volet d'un dyptique réalisé par Atelier Sentô (Cécile Brun et Olivier Pichard).
C'est mon coup de coeur, comme chaque album de l'Atelier en fait ! (Je vous recommande, du même duo, Onibi, une BD qui fleure bon les yokais, la campagne japonaise, la nostalgie du nato et des jihanki ) Olrik, je pense que je publierai plus tard un post à part sur Atelier Sentô, mais je te les recommande très chaleureusement pour toute ta tribu
J'enchaîne avec Fenêtres sur le Japon, d'Eric Faye, chez l'incontournable Picquier. Reçu ce jour et déjà entamé. Suffisamment que pour le classer dans les dispensables... N'empêche, un recueil de textes évoquant Kurosawa (Akira et Kiyoshi!), Kore-Eda, Kobayashi et Mishima sous une même couverture, ça me parle. Rien de bien neuf, mais une belle approche pour constituer une biblio-médiathèque japonaise de qualité à destination des "débutants"
Fantastique Edo de l'illustrateur Susumu Zenyoji... Un magnifique petit guide illustré qui a trouvé (et touché!) son public, ici à la maison. Le tout donne un peu l'impression d'une production muséale. Très pédagogique dans ses visuels et des textes courts pour cerner l'essentiel.
C'est au Lézard Noir, on crache donc 18€, ce qui correspond à un volume de la Cantine de Minuit, ouch...
Et enfin, le numéro 16 d'Atom, consacré à Tokyo, avec une très belle illustration de couverture, oeuvre de Minetaro Mochizuki (Quelqu'un pour partager un avis sur son adaptation du roman de Yamamoto, Chiisakobe? )
(sinon, je termine aussi "Meurtre à Tokyo" du britannique Guy Stanley. Un polar urbain de la fin des années 80, avec comme personnage central, un journaliste-enquêteur, limite hard-boiled, qui flaire un gros requin dans l'ombre d'un petit malfrat retrouvé mort sur les bords de la Tama. Le démarrage de l'intrigue est plaisant, même si cela s'essouffle un peu en cours de lecture. Pour les amoureux (dont je fais partie) de Tokyo).