Maya Miyazaki
Publié : 07 sept. 2018 16:49
Quand on lit un manga de Maya Miyazaki, on se dit que ce prénom est un prénom mixte ou qu'il s'agit d'un pseudo cachant un artiste masculin. Ce goût pour le racoleur, cette obsession des gros seins ne pouvant qu'appartenir à un dessinateur mâle. Mais renseignement pris, non, il s'agit bien d'une auteure qui, à l'instar d'un Ryoichi Ikegami, prend bien soin à ne pas dévoiler son visage.
Peu importe en fait. Signalons juste que sa palette va du pur hentai à un ecchi très salé. Palette finalement assez restrinte et prétexte à développer des histoires mêlant atermoiements amoureux et scènes olé olé desquels jaillissent des plastiques féminines flattant la rétine du lectorat masculin. Le soin qui leur accordé n'est pas sans rappeler celui de Masakazu Katsura, mais un Katsura faisant foin de la suggestion et s'échinant à livrer en pâture au lecteur ses héroïnes pulpeuses dans le plus simple appareil. Là s'arrête la comparaison, Katsura étant tout de même bien supérieur pour tisser des intrigues amoureuses avec un minimum de finesse. Ici il faut bien reconnaître que les intrigue et les dialogues de Miyazaki sont souvent un peu bas du front.
Peu importe en fait. Signalons juste que sa palette va du pur hentai à un ecchi très salé. Palette finalement assez restrinte et prétexte à développer des histoires mêlant atermoiements amoureux et scènes olé olé desquels jaillissent des plastiques féminines flattant la rétine du lectorat masculin. Le soin qui leur accordé n'est pas sans rappeler celui de Masakazu Katsura, mais un Katsura faisant foin de la suggestion et s'échinant à livrer en pâture au lecteur ses héroïnes pulpeuses dans le plus simple appareil. Là s'arrête la comparaison, Katsura étant tout de même bien supérieur pour tisser des intrigues amoureuses avec un minimum de finesse. Ici il faut bien reconnaître que les intrigue et les dialogues de Miyazaki sont souvent un peu bas du front.