
Peu importe en fait. Signalons juste que sa palette va du pur hentai à un ecchi très salé. Palette finalement assez restrinte et prétexte à développer des histoires mêlant atermoiements amoureux et scènes olé olé desquels jaillissent des plastiques féminines flattant la rétine du lectorat masculin. Le soin qui leur accordé n'est pas sans rappeler celui de Masakazu Katsura, mais un Katsura faisant foin de la suggestion et s'échinant à livrer en pâture au lecteur ses héroïnes pulpeuses dans le plus simple appareil. Là s'arrête la comparaison, Katsura étant tout de même bien supérieur pour tisser des intrigues amoureuses avec un minimum de finesse. Ici il faut bien reconnaître que les intrigue et les dialogues de Miyazaki sont souvent un peu bas du front.