Vivre dans la peur (Akira Kurosawa – 1955)

Kiichi Nakajima est un vieil industriel obsédé par la bombe nucléaire. Désireux par-dessus tout de se protéger ainsi que sa famille, il dépense une somme considérable pour acquérir un terrain au nord du Japon fin d’y installer un abri antiatomique. Puis, plus radical, il décide de tout abandonner pour aller… Lire la suite…

Chien Enragé (Akira Kurosawa – 1949)

Murakami, un jeune policier, s’aperçoit en descendant d’un bus qu’on lui a volé son pistolet. Rongé par le sentiment d’avoir failli et surtout la crainte de voir son colt utilisé à mauvais escient, il commence une longue quête pour essayer de remettre la main sur son arme et Yusa, le… Lire la suite…

L’Ange ivre (Akira Kurosawa – 1948)

L’info n’aura pas échappé à ceux qui suivent l’actualité du DVD : Wildside a décidé de sortir 17 films de Kurosawa appartenant à sa période Toho, sorties qui prendront la forme de jolis coffrets DVD/blu-ray accompagnés d’un livret explicatif de Charles Tesson et qui seront édités jusqu’à février 2017. Plusieurs titres sont… Lire la suite…

Les Hommes qui marchèrent sur la queue du tigre (Akira Kurosawa – 1945)

Inspiré de l’inimité entre Minamoto no Yoritomo et son frère Yoshitsune, le film relate la fuite de ce dernier dans les montagnes et accompagné de six hommes déguisés en moines. Leur but est de franchir un poste frontière pour ne pas se faire capturer. Problème : les soldats du poste ont été prévenus… Lire la suite…

les Salauds dorment en paix (Akira Kurosawa – 1960)

Lors de ma précédente critique sur Entre le Ciel et l’Enfer j’avais émis l’hypothèse qu’il s’agissait du film de Kurosawa ayant la fin la plus sombre, mais c’était sans compter sur les Salauds dorment en paix, film vu il y a bien longtemps et dont j’avais oublié le sombre dénouement.… Lire la suite…

Le Duel Silencieux (Akira Kurosawa – 1949)

Pas le plus connu, ni le meilleur de Kurosawa. Mais un Kurosawa quand même. Et de surcroit avec Toshiro Mifune et Takashi Shimura. Cela ne se refuse pas donc, d’autant que pour sortir Mifune des rôles de gangsters, Kurosawa le choisit pour lui faire jouer celui d’un médecin qui, durant… Lire la suite…

Les Sept Samouraïs (Akira Kurosawa – 1954)

Parmi les multiples critères qui font d’un classique un chef d’œuvre absolu du 7ème art, je vois ceux-ci : une capacité à émerveiller le spectateur à chaque visionnage, une capacité à livrer à chaque fois des détails qui en accentue la richesse, une capacité à se bonifier non pas en fonction… Lire la suite…