Bijin de la semaine (41) : Maiko Kazama

A la fin des années 70, coup de tonnerre dans le monde du roman porno : Naomi Tani, LA Naomi Tani, décide de se retirer pour garder intacte dans l’esprit de ses fans l’image d’un corps alors au sommet de sa beauté. Ce n’est pas rien, de toutes les Pink Queens (ou SM Queens) qui travaillent pour la Nikkatsu, Tani étant assurément la plus iconique. La remplacer est inimaginable mais enfin, lorsque le réalisateur Shogoro Nishimura rencontre un jour Maiko Kazama (souvenez-vous, la tenancière du onsen faisant de fabuleux numéros aquatiques), il se dit qu’il y a en elle un côté truculent et vorace propre à en faire une potentielle successeure à Tani. Il aurait par ailleurs affirmé que bien que n’étant pas une femme splendide, elle « sentait le sexe » bref, avait toutes les qualités requises pour briller à l’écran : en tout une petite vingtaine de films qui lui ont permis de devenir une des figures érotiques les plus populaires des années 80.

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2 Commentaires

  1. L’été est chaud ici…

    Tu prévois un article sur Jun Izumi un jour prochain ?

  2. Pas sûr vu que le fil rouge (et rose) de l’été c’est les films avec clapotis et je ne crois que qu’Izumi ait joué dans des films d’ama ou d’onsen.

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