Blue Sky (Hideo Jozo – 2010)

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Sora Aoi (« bleu ciel » en japonais, abstraction faite des kanjis de son nom) a joué en 2011 dans un film intitulé… Blue Sky ! Devant tant d’audace et d’originalité, pas d’hésitation pour votre serviteur, il fallait que je vois de mes yeux s’il s’agissait d’un désastre ou une bonne petite surprise puisqu’il est dit que les  films où joue notre belle oscillent souvent entre ces deux alternatives.

Au bout de dix minutes, une chose est sûre : on est dans un genre particulier, celui de la bleuette pour jeune pucelle :

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La rumeur dit que Sora herself aurait contribué au scénario. Comme quoi on peut participer à d’horribles bukkake et garder malgré tout un cœur aussi pur que l’hymen de Cendrillon.

Sans être non plus dans le pur shojo, on se trouve face à un film qui fait dans le josei, type de manga pour film un peu plus mature que le shojo dans lequel la sexualité a son importance. Evidemment, la part belle est faite à un certain sentimentalisme avec cette histoire dans laquelle une jeune femme, Shiori (le personnage de sora Aoi), essaye de vivre en ménage avec son petit ami, Tetsu, zicos sans grand talent qui a tôt fait d’apparaître comme le parasite de service en passant ses journées au pachinko.

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Pachinko dans lequel travaille d’ailleurs Shiori. Que ce soit dans le train ou au pachinko n’oubliez pas cette caractéristiques des films avec Sora Aoi : à un moment ou à un autre, son postérieur est toujours flatté par la pogne d’un inconnu.

Très vite un dilemme apparaît dans le tendre et petit cœur de Shiroi : doit-elle rester avec son amoureux qu’elle aime finalement dans les moindres fibres de sa chair ? Ou bien doit-elle le lourder puisqu’une imprésario lui fait miroiter une prodigieuse carrière de gravure idol qui s’accomoderait mal d’un tel boulet ? Par ailleurs, ajoutons que ledit boulet est sur le point de s’accommoder d’une carrière de yakuza pour rembourser une dette contractée lors d’une désastreuse partie de mah-jong.

Bon, avouons-le, ce type de films appelle deux types de réactions. Soit vous vous foutez éperdument de l’histoire et que seules comptent à vos yeux le nombre d’apparitions dénudées ou en petite tenue de cette douce (mais néanmoins délurée) enfant qu’est Sora Aoi. Auquel cas la note du film aura selon ces critères un frileux 3/10.

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Ou bien vous avez l’esprit sentimental et bienveillant et vous avez envie de passer 80 minutes devant une agréable romance pas trop mal jouée avec en surplus quelques boobs ici et là. Dans ce cas on peut donner un petit 6/10.

Pour les amateurs de scènes de copulation enfievrées, passez votre chemin, les personnages masculins semblent n’être obsédés que par une seule chose :

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Mettre la main à la pâte.

Dans tous les cas, ce Blue Sky reste anecdotique dans la carrière de Sora Aoi. La semaine prochaine, nous verrons un film nettement plus recommandable. Stay tuned.

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2 Commentaires

  1. Donc 3/10 quoi.
    (j’espère qu’elle a un supplément prise de risque pelotage dans ses contrats)

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