Parmi les choses qui me font penser que ça aurait été vraiment cool de vivre au Japon dans les années 60, 70 et 80, il y a Heibon Punch. Bon sang! être abonné à ce magazine de charme et retrouver, après une dure journée de travail, toutes ces pin up toujours sexy, jamais vulgaires, le tout accompagné d’une Asahi bien fraîche, une idée du bonheur…
… ou alors être camionneur comme Bunta Sugawara dans Torakku Yarô et rouler à travers les paysages japonais, avec pour seule compagnie la présence réconfortante des petits minois de ce calendrier, ça l’aurait fait aussi…
Pour les curieux qui aimeraient faire leurs recherches personnelles sur le pedigree des donzelles, voici leur nom en romaji :
芽樹あやこ : Ayako Meki
松本エミ : Emi Matsumoto
宮路三枝子 : Mieko Miyaji
原悦子 : Etsuko Hara
蘭みゆき : Miyuki Ran
三崎奈美 : Nami Misaki
C’est magnifique !!!!
Ca me donne envie de retapisser la baraque locale !
Fini la scuderia Ferrari et les portraits dédiés aux anciens.
Clarence, il chausse des pneus Yokohama sur sa mini-moto
« Nude & Mobile » .. ça c’est du titre 😀
Un calendrier moins « gonflé » que ceux de Pirelli mais qu’est-ce que ça tient bien la route!
Ca donne carrément envie de faire du karting, de la p’tite moto,… y a pas à chier en 1980, ils se la donnaient ! 😉 Y en a même pour les fétichistes qui pourront saliver devant les sublimes bottines rouge de la donzelle au foulard rouge, superbe !
J’aime bien celle du mois de janvier, sans doute la selle qui joue un grand rôle suggestif. Moins de fan de la miss décembre, mais bon c’est typiquement dans les canons nippons fin 70s/80s.
… Et tout ça nous amène fort logiquement à « Fuck1 Grand Prix », le AV ultime, la rencontre motorisée des plus grands compagnies locales dans une lutte haute en couleur et en idées pour le moins barrées.
Allons, allons, Martin, on n’est pas sur DC ici, remballe tes ignobles AV, tu va choquer les demoiselles du calendrier.
ignobles, non , audacieux, surréalistes et avant-gardistes .. oui ! ID t’en diras des nouvelles 🙂
J’en dis des nouvelles ! Et de suite. Il faut me voir avec la casquette pour me protéger du soleil, un soda dans une main et un petit drapeau dans l’autre à l’effigie de l’écurie de Miss Maria Ozawa beuglant des : « allez ma p’tite ! Oui comme ça, tu tiens le bon bout ! « . C’est tout simplement un monument de l’asphalte goudronée sur laquelle des demoiselles tambourinent à fond dans les dextérités physiques ô combien jouissante c’est tout simplement, ouvrez les guillemets après les deux points pour la reprise : » audacieux, surréalistes et avant-gardistes » tout est dit en quelques mots. Grandiose. Viva Fuck1 Grand Prix ! s’écrit le peuple uni face à ce spectacle d’une nouvelle arène qui envoie se rhabiller les footeux et autres gladiateurs. Ôde à vous les filles ! C’est dit.
La jeune fille (à l’époque tout du moins) de Janvier/Février est vraiment sympathique. Elle s’appelle Ayako quelque chose. Malheureusement, je ne connais que très peu de Kanji, il m’est donc impossible de lire son nom. Quelqu’un peu m’aider? Merci d’avance.
Félicitations pour le site au passage.
Merci et bienvenue Reinaldo.
Je vois que Monsieur a bon goût ! Il s’agit d’Ayako Meki, starlette de la Nikkatsu :
[img]http://bullesdejapon.fr/wp-content/uploads/2011/09/ayako-meki.jpg[/img]
Pas la plus connue mais sa performance dans « Eros Nights of Tokyo » est des plus recommandables.
Maintenant que j’y pense, c’est vrai que j’aurais pu au moins indiquer les noms des bijins. Quelle feignasse cet Olrik ! J’essaierai de compléter ça ce soir.